Rien ne va plus, tout est en panne

Au delà de la polémique qu’il peut y avoir sur le système d’exploitation ou des logiciels choisis, il faut se rappeler une chose: ce n’est pas qu’un système informatique peut tomber en panne, c’est qu’il va tomber en panne un jour ou l’autre.

Plus un commercial me vante la stabilité de son système, plus j’ai peur. Que ce soit dans l’informatique ou dans d’autres domaines. Or, aujourd’hui, l’informatique et les systèmes embarqués sont partout, y compris dans les voitures.

Là où un simple miroir ne peut pas se mettre en carafe, on remplace ceux ci par des caméras + écrans ((où le seul intérêt à mes yeux serait l’enregistrement des informations, le stockage, le traitement et la conservation des données, y compris envers la CNIL, rendent la chose compliquée et coûteuse)), là où un simple interrupteur fait son office, on installe un système intelligent sensé nous simplifier la vie ((mon micro ondes refuse de décongeler mon pain, considérant qu’il n’est pas assez lourd pour justifier la mise en route du four. Je suis obligé de rajouter du poids (2 verres d’eau) pour que la pesée fonctionne et que le four( daigne adapter sa puissance au produit…)), là où in simple téléphone permettait d’appeler les secours, il lui faut maintenant une alimentation et il ne fonctionne plus en cas de coupure électrique.

Plus on rajoute d’éléments dans la chaine de fonctionnement, plus on fragilise le système complet en cas de faille dans l’un des éléments. Sans compter les multiples éléments extérieurs inconnus sur lesquels on ne peut avoir de contrôle (stabilité électrique, parasites électro ou magnétiques, chocs d’un balai, utilisateur lui même, …) qui conduisent parfois à des pannes non franches qu’il est quasiment impossible de reproduire, comprendre et éviter. Les systèmes fermés (logiciels ou matériels) induisent eux aussi une part d’inconnu qui ne nous laisse que la possibilité de constater: c’est en panne, ou ça a été en panne, mais on ne sait pas pourquoi.

Or, lorsqu’un client fait appel à un professionnel, il veut une réponse. Et si le professionnel avoue son ignorance, c’est qu’il est nul et qu’il faut s’adresser à quelqu’un d’autre. La tentation est alors forte d’inventer une cause ou une explication qui satisfera le client, bien qu’on ne sache pas réellement si elle est juste. Déjà que le métier d’informaticien paraît obscur aux non initiés ((ouvrez une ligne de commande chez un client, il vous prend déjà pour un hacker)), que les termes techniques et les explications sont incompris ((ce qui permet à certains de raconter n’importe quoi)), que les médias ne parlent de l’informatique que pour ses effets négatifs (pirates, virus, pédophilie), on arrive très vite à une réputation de menteurs et de voleurs, pas loin derrière les garagistes. C’est parfois difficile à rattraper, surtout quand on passe derrière certains concurrents ((quand il ne s’agit pas du petit fils de la soeur du cousin du beau frère du collègue de travail du voisin qui « s’y connait » et à qui on fait plus confiance)).

Si en plus on apporte des mauvaises nouvelles au client, je vous laisse imaginer ses impressions. Heureusement qu’on ne tue plus les porteurs de mauvaises nouvelles!

Intervenant souvent sur des pannes ((souvent sur des systèmes que je découvre)), le client veut que ça refonctionne au plus tôt ((c’est à dire juste après son appel)) et que ça ne se reproduise plus ((il paye, donc il veut une garantie)). Or, pour étudier une panne, il faut laisser le système dans l’état où il se trouve, c’est à dire en panne. Comme bien souvent un simple redémarrage suffit à résoudre le problème ((en particulier chez qui vous savez)), difficile de savoir le pourquoi et d’être certain que ça ne se reproduira plus. Ce n’est pas le plus difficile à faire comprendre à un client, quand on emploie les mots justes. Il peut comprendre qu’un redémarrage est nécessaire et que c’est un moindre mal mais il est tiraillé entre ce que vous lui dites et le discours appuyé des commerciaux ne disant que ce que les gens ont envie d’entendre. J’appelle ça le chant des sirènes.

En tant que particulier, professionnel ou simple être humain, j’y suis aussi sensible. Entre les publicités et les envies d’être rassuré, difficile de faire la part des choses ((assurances, mutuelles, retraite, services bancaires, alarmes, … On a tous cédé une fois parce qu’on avait envie d’y croire)).

Alors, quand un commercial me jure ses grands dieux que tout est parfait, je lui fait voir la galerie ci dessous ((Y’a bien que des informaticiens pour prendre ces trucs en photo. Et en plus à aimer ça…!)). Ce sont des photos provenant d’Internet pour la majorité, plus quelques unes de mon crû.

Quand un client veut que ça ne se reproduise plus, sans mettre les moyens, je lui fais aussi voir cette galerie. Il comprend alors que si des banques ou des aéroports restent confrontés à des pannes pouvant compromettre la sécurité de leur système alors qu’ils y ont mis des moyens importants ((Et souvent beaucoup plus que le budget disponible chez mon client)), l’objectif de zéro panne n’est pas accessible immédiatement et qu’il va falloir étudier une tolérance de panne acceptable.

Au final, quand on a compris qu’il y aura une panne, qu’on ne saura pas pourquoi ni comment, la seule question importante qu’il reste c’est: comment repartir rapidement après sinistre? Seul un système de sauvegarde efficace ((testé et vérifié régulièrement, ce qui n’est pas le cas dans beaucoup d’endroits)) et une méthodologie de travail adaptée ((Ne pas multiplier les emplacement des données, classer les informations, …)) permettent de relancer, plus ou moins rapidement ((selon les moyens mis en oeuvre et l’acceptation d’un délai de coupure de service)), le système d’information nécessaire au fonctionnement.

Vous qui me lisez, à quand remonte votre dernière sauvegarde vérifiée?

Aucun risque!

Des fois, on voit des petits détails qui nous font faire des bonds, qu’on soit informaticien ou pas.

Vous ne voyez pas? Cliquez sur l’image pour la voir en grand.

Toujours pas? Bon, je vous aide

Oui, un objet métallique à moins d’un demi centimètre de fiches alimentées en 220V. Aucun risque d’arc électrique. Aucun risque qu’un client ne s’amuse à le tripoter pendant que la vendeuse est occupée. Aucun risque, je vous dis.

Sauf celui de passer pour un con lorsqu’on le signale, parce qu’il faut bien que l’ordinateur fonctionne pour pouvoir vous commander vos lunettes, Monsieur! ((Je schématise fortement, bien sûr, mais le message est là))

Claques perdues: +1

Meuh!*

Hier, on avait:

  • Des forfaits téléphoniques sans internet ((si tu appelles, forcément, tu n’utilises pas le mail)) ou avec internet mais sans voix ((si t’as internet, t’es sur facebook, donc pas besoin ni le temps de téléphoner. A qui, d’abord, t’as pas d’amis?))
  • Des forfaits dont le moindre changement d’option ré-engage pour 2 ans ((Vécu: modifier mon forfait de 2h à 3h ne changeait rien (sauf le prix) mais le modifier de 3h à 2h rallonge ma période d’engagement))
  • Des forfaits qui « prennent en compte le financement du mobile » même quand le mobile voulu n’est pas proposé dans les choix et qu’on le paye cash, à part.
  • Des forfaits dont le moindre usage classique actuel (voix +mail) coûte un bras
  • Des forfaits qu’il est parfois plus avantageux de prendre chez le même opérateur…à l’étranger, avec l’option roaming!
  • Un service client qui n’a que le nom pour associer les mots service et client (( vécu: devant ma menace de résilier, mon correspondant hilare: « Vous pensez vraiment trouver mieux ailleurs? Vous reviendrez chez nous dans 2 mois! » et qui me fait des « cadeaux » à tour de bras par courrier après ma lettre de résiliation « sous réserve de réengagement))
  • Des sonneries de 10 secondes, qui obligent à répondre tout de suite (y compris au volant, avec les conséquences qu’on connait), comptent pour un appel vers la messagerie et un rappel du correspondant.

Les opérateurs commencent à admettre qu’ils ont pris leurs clients pour des vaches à traire. J’espère vraiment que demain sera aussi fracassant qu’avant hier

*Tu sais ce qu’elle te dit, la vache à lait?

La faiblesse du libre, c’est aussi sa communauté.

SharkAvong 1.0 est enfin disponible!

Nous étions nombreux à attendre la sortie de la version 1 avec impatience. Les développeurs qui passaient sur le forum laissaient sous entendre que la sortie se ferait avant la fin du mois, et ils ont tenu parole! SharkAvong 1.0 est arrivé!

Au menu, beaucoup de nouveautés, dont certaines attendues depuis longtemps. Jugez plutôt:

  • support de l’internationalisation. L’anglais et le brésilien sont déjà disponibles, le français est en cours.
  • splash screen à l’ouverture du logiciel, avec indication du statut!
  • binaires disponibles pour les plus grandes distributions (Ubuntu)!
  • nouveau thème de couleurs, nouveau thème d’icones par défaut
  • application skinnable (même si les skins ne sont pas encore disponibles)
  • génération d’un fichier de log dès le lancement, facilitant la recherche de bugs
  • on peut à tout moment accéder à la fenêtre d’identification (enfin!)
  • les derniers éléments non GPL ont été supprimés!
  • Installable sur Windows XP!!! (même si ça reste en beta) Bientôt sur Seven(W7)!
  • et beaucoup d’autres bugs éliminés!

La mise à jour vous sera proposée au lancement du logiciel, et je vous invite à la suivre de façon automatique, tout s’est très bien déroulé pour moi.

De qui se moque t-on?

Là, toute de suite? De vous. Et c’est moi qui me moque.

SharkAvong n’existe pas. Enfin, pas sous ce nom. Inutile de le chercher sur google, vous ne le trouverez pas au détail. Je me suis bien assuré de n’égratigner personne.

Mais j’en ai eu marre!

Marre des nouvelles qui n’annoncent rien, des infos qui n’en sont pas, des pseudo-journalistes qui ne sont ni journalistes, ni même approchants d’un pseudo quelque chose.

Marre de lire des articles dont le seul but est d’employer des mots clefs destinés à faire augmenter le nombre de visiteurs (malheureusement, ça fonctionne…).

Marre des blogs sur lesquels il faut s’enregistrer pour un commentaire demandant des éclaircissements.

Marre des articles « d’actualité » non datés qui datent de plusieurs années en arrière.

Marre des fanatiques du libre qui font du bruit pensant faire de la publicité.

Parce qu’il est là, le problème.

Revenons au début (traveling arrière, camera zoom avant): le pseudo article que vous avez lu au dessus est une copie d’un article que j’ai lu sur le net. Copie à l’identique ((exception faite des fautes de grammaire et d’orthographe que je ne peux me résoudre à laisser dans un de mes textes)), aux liens près. Bien qu’il n’y en ait aucun…

Or, que dit cet article? Qu’avez vous appris à sa lecture?

Rien. Ni à quoi sert le logiciel, ni où le trouver, ni l’emplacement de la communauté… Rien.

Toujours est il que cet « article », et toutes les copies presque à l’identique repris sur tous les autres blog remplissent les moteurs de recherche de bruit, masquant plus ou moins fortement le site réel du logiciel qui se trouve relégué à la 38e page de google.

Et des articles comme ça, il en apparait tous les jours.

De l’éthique et des liens

Lorsqu’on écrit un article, il faut réfléchir un peu!

Voici 10 préceptes que j’applique avant de cliquer sur « publier »:

  1. Qui va me lire ? Seulement les gens qui connaissent mon blog ? Non! Les moteurs de recherche amènent autant, voire plus, de lecteurs.
  2. L’article s’adresse t-il aux initiés, ou aux néophites ? Dans tous les cas, un minimum d’explication est nécessaire, ne serait ce que pour savoir de quoi on parle. Inutile de faire un pédigrée complet à chaque fois, mais une phrase aide à centrer le sujet. L’article complet est il compréhensible?
  3. Pourquoi j’écris cet article? Si c’est pour ramener des gens à la communauté, il est nécessaire de leur permettre de rejoindre rapidement ladite communauté. Un lien vers le site du projet, ou vers une page qui en parle plus longuement est un minimum pour que l’article serve à quelque chose.
  4. Cet article est il important/nécessaire? Si l’information que vous diffusez est présente partout sur le net, pourquoi en faire un article? Si vous ne faites que reprendre ce qui existe ailleurs, liez l’article externe à votre blog, au lieu de dupliquer l’information.
  5. L’article est il juste/pertinent? Avez vous au moins vérifié vous même la véracité des informations? Vous n’imaginez pas le nombre de co***eries ((nn  ;o) )) recopiées d’un blog à l’autre dans une course à la primeur de diffusion…
  6. L’article est il suffisamment commenté/documenté? Un minimum de recherche et de liens dans votre article permet au visiteur de trouver ce qu’il cherche, les réponses à ses questions, et augmente votre crédibilité. Et par conséquent, le fait de rester ou revenir sur votre blog. Sinon, il suffit de regarder combien de visiteurs partent de votre site en moins d’une minute. Une centralisation dans votre article des liens nécessaires permet de faire revenir les visiteurs qui sauront qu’ils n’ont pas à chercher ailleurs ce qu’ils ont trouvé chez vous.
  7. Cet article est il nécessaire d’une manière ou d’une autre? ((Excepté pour le plaisir de publier sur son blog, bien sûr)) Si je ne le publie pas, va t-il manquer? Si je le publie, que va t-il apporter aux lecteurs? Si je me fais le porte parole d’une communauté, le fais-je bien?
  8. L’article est il mûr? Vais-je le modifier après publication? ((la réponse est toujours non, mais dans les faits…)) Souvent, après être passé à autre chose, l’esprit se détend et on voit qu’on aurait pu formuler les choses autrement, apporter plus de précisions ou d’indications. Ne publiez jamais après avoir fini la rédaction d’un article. Laissez passer un peu de temps. Pourquoi? Les agrégateurs ne prennent en compte que la première version publiée, et vos modifications ne seront jamais vues si on ne vient pas sur le site. Et si l’article est flou, imprécis, pas intéressant, comme mon exemple du début, on ne viendra jamais sur votre site.
  9. Me suis-je relu suffisamment? Les fautes de grammaire et d’orthographe sont pénibles à lire, changent le sens des phrases, et surtout, diminuent votre page rank dans les moteurs de recherche! Il existe plein d’outils (à commencer par les navigateurs eux même) qui signalent vos fautes et des sites vous permettant de conjuguer correctement, sans compter Verbiste disponible dans votre distribution. On peut pardonner quelques fautes, mais s’il faut déchiffrer votre écriture, on passe vite au site suivant de google. ((Chromium m’a même proposé la traduction en français d’un site entièrement écrit en français (et bien paramétré au niveau du serveur et des entêtes) mais dont tous les termes étaient mal écrits, en phonétique, cowboyz ou avec des fautes…))
  10. Ais-je été correct dans mes propos? L’article n’est il pas violent, agressif, malpoli ? L’ai-je écrit sous le coup de l’excitation, la colère ?Pourrais-je un jour le regretter devant mes parents, mes enfants, un employeur, une administration? Liberté d’expression, OK, mais respect des libertés, surtout.

Ce ne sont que les questions principales à se poser lorsqu’on écrit un article. Bien sûr que vous savez de quoi vous parlez, mais si vous êtes le seul, à quoi bon parler?

J’ai plein d’articles dans mes brouillons qui n’ont pas été publiés parce qu’ils ne répondaient pas aux questions ci dessus. un peu de temps suffirait à les rendre éligibles, mais le temps ou l’envie me manquent. Ce n’est pas grave, la qualité générale ne baisse ainsi pas.

Logiciels libres, expression libre

Libriste, c’est bien. Intégriste, même libriste, non.

Mais pour autant, doit on laisser dire n’importe quoi?

Il est vrai que l’assimilation Ubuntu <-> Linux est souvent désagréable, mais cela a ses raisons.

Ubuntu a réussi à fédérer une large part des utilisateurs de Linux ((Je rappelle qu’on doit dire GNU/Linux, mais que dans un soucis répondre à la question 2, je simplifierais en Linux)) pour une raison simple: la simplicité d’utilisation. Ce qui a amené un grande communauté, qui rameute largement à tous les niveaux et qui fait beaucoup de bruit.

Du coup, cela laisse penser que les autres distributions sont minoritaires et négligeables.

La faute à qui?

A tous ces blogs qui n’expliquent pas correctement la distribution dont ils parlent? A ces auteurs qui font savoir qu’ils savent mais ne transmettent pas ce savoir? Aux communautés qui n’assurent un soutien que lorsqu’on parle déjà leur langage? Au manque de documentation compensé par les forums des utilisateurs dont les propos sont 1kompéansib ? A l’assistance RTFM ?

J’ai lu un jour qu’ « une communauté à les utilisateur et le soutien qu’elle mérite« . J’ai été révolté sur le coup, ce qui fait que la phrase m’a marqué. Mais je ne suis pas loin de le penser aujourd’hui. Depuis que je consulte le planet-libre, et que j’y suis publié, je pense en effet qu’une diversité, si elle est rafraichissante et puissante, ne peut être utile que si elle est guidée et canalisée.

Les distributions les plus importantes aujourd’hui sont toutes dirigées/contrôlées/organisées par un comité directeur qui ne fait pas que du développement mais aussi de l’administration et de la modération de forum, ce qui permet d’indiquer la direction à suivre.

Et quand un de mes articles est refusé à la publication (sur le net ou en papier), c’est parce que j’ai raté le coche, pas parce que ces $*µ£% d’admins sont des intégristes bornés équipé d’œillères. Le bien de tous, et la survie de la communauté passe parfois par le désagrément de quelques uns.

Espoir, quand tu nous tiens

Internet commence a rassembler plus de fausses informations que de vraies, en particulier sur les logiciels libres. Les communautés devraient être plus attentives à ce qu’on dit d’elles, et pas attendre que ça vienne tout seul. Et contacter les auteurs pour leur faire corriger les fausses informations, rumeurs et manque de précision. La qualité perçue, la réputation passe par là.

C’est vrai que cela représente un gros travail, mais c’est un travail qui a été négligé depuis trop longtemps.

L’image a toujours été négligée, que ce soit dans le graphisme ou dans la communication. Ceux qui n’ont pas fait cette erreur ont réussi à percer (Mozilla, Google ((don’t be evil, quel formidable slogan, un logo travaillé, une page épurée. Ensuite seulement viennent les résultats.)), Ubuntu, Apple ((dont tous les produits sont basés sur l’image avant les aspects techniques)), même Microsoft accorde une importance primordiale sur ces points). Les campagnes publicitaires ou de mises en avant se retrouvent réduite à néant à cause des mauvais articles des utilisateurs. Pourquoi pensez vous que les plus grand xxxxx ((mettez ici ce que vous voulez)) censurent leurs forums et font des procès aux détracteurs? Sans aller jusque là, une attention particulière est nécessaire de la part du libre pour continuer d’exister la tête haute.

Pour l’histoire

Je teste beaucoup de distributions. Les bonnes idées sont à prendre où elles sont, et les logiciels libres sont un creuset où chacun peut faire sa cuisine. J’ai voulu tester une distribution non confidentielle dont je tairais le nom, dont on m’avait venté les outils d’administration. Même en parlant 3 langues, en en lisant deux autres et avec le traducteur de Google, j’ai passé un temps fou à trouver les informations minimales sur les logiciels intégrés.

Si j’avais vraiment voulu basculer sur cette distribution, j’aurais fait bien vite demi tour! Cette distribution n’était pas faite pour moi, selon certains. Peut être. Peut être aussi qu’elle n’est faite pour personne et que le problème se règlera de lui même, lorsque sa communauté aura fini de se saborder…

PS: cet article a été écrit il y a quelques jours et seulement publié aujourd’hui. Que les auteurs dont les billets me précèdent ne voient pas d’attaque envers leur article.