Délai d’installation des extensions de Firefox

Vous avez remarqué que lorsque vous voulez installer une extension dans Firefox, vous devez attendre un certain délai avant de pouvoir cliquer sur le bouton qui vous permet de lancer l’installation.
Il est possible de modifier ce délai pour ne plus avoir à attendre, ou pour fixer un délai trèèèès long pour empêcher l’installation d’extensions sur un poste en libre service (bien sûr, si l’utilisateur connait l’astuce, cela ne l’empêchera nullement, mais cela est suffisant pour des postes dans des écoles, par exemple).

  • Ouvrez firefox
  • dans la barre d’adresses, tapez about:config
  • validez le message d’avertissement en cliquant sur le bouton je ferais attention, promis
  • Dans la barre de filtre, entrez security.dialog_enable_delay
  • Double cliquez sur la ligne affichée
  • Modifiez la valeur selon ce que vous désirez faire:
    • 0 pour pouvoir installer les extensions sans attendre
    • 2000 (valeur par défaut à l’installation) pour attendre environs 3 secondes
    • 999999999 pour devoir attendre 11 jours 27 minutes et une poignée de secondes avant de pouvoir cliquer sur le bouton (calcul validé par des scientifiques grâce à un pifomètre laser de dernière génération)(en fait, la valeur entrée est en millisecondes, à vos calculettes)
  • Validez votre choix

Inutile de redémarrer firefox, le changement est immédiat.

Vous pouvez tenter d’installer une extension par le site http://extensions.geckozone.org/Firefox et vérifier vos réglages

delai_installation_extension

delai_installation_extension

Mettre en avant l’onglet actif de firefox

Avec les couleurs par défaut de firefox, en particulier si vous souffrez de déficience visuelle, il n’est pas toujours facile de savoir sur quel onglet vous êtes, et vous fermez parfois un mauvais onglet.

Même s’il est possible d’annuler la fermeture de l’onglet lorsqu’on se rend compte de son erreur, il est aussi très facile de modifier les couleurs affichées et de mettre visuellement l’onglet actif en avant.Pour vous permettre de voir le résultat obtenu, voici un avant/après:

onglets_firefox_default

onglets_firefox_default

onglets_firefox_apres

onglets_firefox_apres

Bien sûr, les couleurs sont personnalisables, tout dépend du résultat que vous désirez obtenir.

    1. Ouvrez nautilus par Raccourcis/Dossier personnel (pour KDE, lancez votre navigateur de fichier)
    2. Affichez les fichiers cachés (cochez Affichage/Afficher les fichiers cachés)
    3. Ouvrez le dossier .mozilla
    4. Ouvrez le dossier firefox
    5. Ouvrez le dossier xxxxx.default (où xxxxx est différent d’un compte à l’autre)
    6. Ouvrez le dossier chrome
    7. Renommez le fichier userChrome-sample.css (ou userChrome-example.css) en userChrome.css (cette opération permet de le faire prendre en compte par Firefox)
    8. Cliquez avec le bouton droit et choisissez Ouvrir avec éditeur de textes
    9. Insérez le contenu suivant à la fin du fichier:
tab {
-moz-appearance: none !important;
}
tab[selected="true"] {
background-color: #F2F547 !important;
color: black !important;
}
tab:not([selected="true"]) {
background-color: #DEDED7 !important;
color: gray !important;
}
  1. Sauvez le fichier
  2. Fermez les fenêtres du navigateur de fichier (vous n’en avez plus besoin)
  3. Fermez et relancez Firefox

Pour aller plus loin

  • Vous pouvez spécifier les couleurs par leur nom normalisé (grey, black, white, …), par leur code couleur (#FFC2D1) ou par leur valeur RGB (en utilisant rgb(200,150,82) )
  • L’onglet actif est défini dans le paragraphe tab[selected= »true »], les onglets non actifs sont définis dans le paragraphe tab:not([selected= »true »]).
  • Vous trouverez des exemples de personalisation à l’adresse http://www.mozilla.org/unix/customizing.html
  • Le fichier est lu au chargement de firefox, mais si vous ne relancez pas le navigateur après avoir sauvegardé des modifications dans le fichier (donc, si vous laissez firefox ouvert pour continuer votre navigation), il peut arriver que firefox se fige. Redémarrez votre session.

Identification SSH sans mot de passe

Pour utiliser SSH (et dérivés tels que sftp) sans mot de passe, il faut ajouter votre clef sur le serveur. Nous aurons donc un ordinateur (manu-desktop) qui pourra se connecter à un serveur (server) par ssh sans avoir besoin de spécifier de mot de passe.

Notez qu’il existe des outils graphiques pour réaliser ces opérations (par exemple seahorse sous Gnome), mais je n’en parlerais pas.

Sur l’ordinateur client (manu-desktop)

La première chose à faire, si vous n’avez pas de clef pour votre machine, est d’en générer une

manu@manu-desktop:~$ ssh-keygen
Generating public/private rsa key pair.
Enter file in which to save the key (/home/manu/.ssh/id_rsa):
Created directory '/home/manu/.ssh'.
Enter passphrase (empty for no passphrase):
Enter same passphrase again:
Your identification has been saved in /home/manu/.ssh/id_rsa.
Your public key has been saved in /home/manu/.ssh/id_rsa.pub.
The key fingerprint is:
cd:9e:bb:0a:1e:22:29:fa:e3:dc:12:72:8a:15:13:58 manu@manu-desktop
manu@manu-desktop:~$ ls -l ~/.ssh
total 8,0K
3367418 -rw------- 1 manu manu 1,7K 2009-01-15 13:26 id_rsa
3367419 -rw-r--r-- 1 manu manu  399 2009-01-15 13:26 id_rsa.pub
manu@manu-desktop:~$

Ne mettez pas de passphrase et laisser les options par défaut pour la création de la clef. Il est aussi possible de spécifier les options via la ligne de commande:

ssh-keygen -qt rsa -b 1024 -C manu -f ~/.ssh/manu@manu-desktop.rsa -N ""

La commande précédente crée une clef rsa (-t) avec le commentaire (-C) manu d’une longueur de 1024 bits (-b) dans le fichier ~/.ssh/manu@manu-desktop.rsa (-f) avec une passphrase (-N) vide.

Sur le serveur (server)

Le compte utilisateur de connexion doit exister. Il n’est pas obligé que ce soit le même identifiant que sur le client. Par exemple, sur le serveur, mon compte est nommé zephir.

[root@server]:# adduser zephir
Ajout de l'utilisateur « zephir »...
Ajout du nouveau groupe « zephir » (1002)...
Ajout du nouvel utilisateur « zephir » (1002) avec le groupe « zephir »...
Création du répertoire personnel « /home/zephir »...
Copie des fichiers depuis « /etc/skel »...
Entrez le nouveau mot de passe UNIX :
Retapez le nouveau mot de passe UNIX :
passwd : le mot de passe a été mis à jour avec succès
Modification des informations relatives à l'utilisateur zephir
Entrez la nouvelle valeur ou « Entrée » pour conserver la valeur proposée
Nom complet []:
N° de bureau []:
Téléphone professionnel []:
Téléphone personnel []:
Autre []:
Ces informations sont-elles correctes ? [o/N] o
[root@server]:#

Sur l’ordinateur client (manu-desktop), fin des opérations

Il ne reste plus au client qu’à envoyer sa clef d’identification au serveur simplement par la commande suivante:

ssh-copy-id -i ~/.ssh/id_rsa.pub zephir@server

Acceptez l’identification du serveur, le mot de passe est demandé (puisque vous n’avez pas encore envoyé la clef) et la clef est copiée dans le fichier /home/zephir/.ssh/authorized_keys.
Tentez la commande suivante (Ctrl+D pour sortir)

ssh zephir@server

Vous ne devriez plus avoir de demande de mot de passe.

Sur le serveur, fin des opérations

Il est possible de sécuriser le serveur afin de n’accepter que les authentifications avec clef et sans demande de mot de passe (pour ssh. L’accès en local demandera toujours un mot de passe).
Ainsi, les tentatives d’attaque par force brute sont vouées à l’échec. MAIS, soyez conscient que vous ne pourrez plus vous connecter depuis une autre machine que celle pour laquelle vous avez envoyé la clef, pas plus que vous ne pourrez envoyer d’autres clefs.
Paramétrez le fichier /etc/ssh/sshd_config tel que ci dessous:

# Authentication:
LoginGraceTime 120
PermitRootLogin yes
StrictModes yes
 
RSAAuthentication yes
PubkeyAuthentication yes
AuthorizedKeysFile      %h/.ssh/authorized_keys
 
# Change to no to disable tunnelled clear text passwords
PasswordAuthentication no

Relancez ensuite le serveur ssh pour prendre en compte les modifications.

Note sur la sécurité

L’accès au serveur est possible sans authentification par l’utilisateur manu depuis l’ordinateur client (manu-desktop). Si cet ordinateur est un portable et qu’il se fait voler, celui qui arrivera à se connecter avec l’identité de manu arrivera sans demande de mot de passe à se connecter au serveur !
Réfléchissez bien à l’utilisation de ce mode de fonctionnement avant de le mettre en place.
En cas de vol, il suffira de supprimer le fichier /home/zephir/.ssh/authorized_keys pour que la clef volée avec le portable ne soit plus opérationnelle.
Vous pouvez, de même, recréer et changer vos clefs d’identification lorsque vous le voulez en réutilisant les commandes données en début d’article.

Liens:

http://doc.ubuntu-fr.org/gnupg
http://doc.ubuntu-fr.org/ssh

Serveur de synchronisation rsync

Mettre en place un serveur de synchronisation peut être utile pour éviter les saturations par http ou la mise en place d’un FTP anonyme.
De plus, rsync a l’avantage de ne transférer que les différences entre les dossiers à synchroniser, ce qui est plus rapide et moins consommateur de ressources.

L’installation du paquet rsync, sur Ubuntu, ne suffit pas à activer un serveur rsync; il reste quelques manipulations simples à mettre en place.

Tout d’abord, si le progrmme rsync n’est pas installé, faites le:

apt-get install rsync

Le serveur rsyncd a besoin d’un fichier de configuration /etc/rsyncd.conf. Voici un exemple de fichier:

# sample rsyncd.conf configuration file

# GLOBAL OPTIONS

#motd file=/etc/motd
#log file=/var/log/rsyncd
# for pid file, do not use /var/run/rsync.pid if
# you are going to run rsync out of the init.d script.
pid file=/var/run/rsyncd.pid
#syslog facility=daemon
#socket options=
read only = yes
list = yes
uid = nobody
gid = nogroup
use chroot = yes
max connections=10
log format = %t: host %h (%a) %o %f (%l bytes). Total %b bytes.
syslog facility=local5

# MODULE OPTIONS
[astuces]
	comment = repertoire des astuces
	path = /var/www/astuces
#	use chroot = yes
#	max connections=10
	lock file = /var/lock/rsyncd
# the default for read only is yes...
	#read only = yes
	#list = yes
	#uid = nobody
	#gid = nogroup
#	exclude =
#	exclude from =
#	include =
#	include from =
#	auth users =
#	secrets file = /etc/rsyncd.secrets
	strict modes = yes
#	hosts allow =
#	hosts deny =
	ignore errors = no
	ignore nonreadable = yes
	transfer logging = no
#	log format = %t: host %h (%a) %o %f (%l bytes). Total %b bytes.
	timeout = 600
	refuse options = checksum dry-run
	dont compress = *.gz *.tgz *.zip *.z *.rpm *.deb *.iso *.bz2 *.tbz

Pour la définition des options, consulter le man.
Les options peuvent être placées dans une section (auquel cas elles ne s’appliquent qu’à cette section, ou en tête de fichier (hors section) et s’appliquent alors à toutes les sections, sauf configuration contraire dans l’une d’elle.

Le serveur peut désormais être lancé manuellement ainsi:

sudo rsync --daemon

Mais il est plus simple d’activer le lancement en démon au démarrage en modifiant le fichier /etc/default/rsync. Voici un fichier correctement paramétré:

# defaults file for rsync daemon mode
# start rsync in daemon mode from init.d script?
#  only allowed values are "true", "false", and "inetd"
#  Use "inetd" if you want to start the rsyncd from inetd,
#  all this does is prevent the init.d script from printing a message
#  about not starting rsyncd (you still need to modify inetd's config yourself).
RSYNC_ENABLE=true
# which file should be used as the configuration file for rsync.
# This file is used instead of the default /etc/rsyncd.conf
# Warning: This option has no effect if the daemon is accessed
#          using a remote shell. When using a different file for
#          rsync you might want to symlink /etc/rsyncd.conf to
#          that file.
# RSYNC_CONFIG_FILE=
# what extra options to give rsync --daemon?
#  that excludes the --daemon; that's always done in the init.d script
#  Possibilities are:
#   --address=123.45.67.89        (bind to a specific IP address)
#   --port=8730                (bind to specified port; default 873)
RSYNC_OPTS=''
# run rsyncd at a nice level?
#  the rsync daemon can impact performance due to much I/O and CPU usage,
#  so you may want to run it at a nicer priority than the default priority.
#  Allowed values are 0 - 19 inclusive; 10 is a reasonable value.
RSYNC_NICE='10'
# Don't forget to create an appropriate config file,
# else the daemon will not start.

Une fois ceci fait, il ne reste plus qu’à relancer rsync:

sudo killall rsync
sudo /etc/init.d/rsync restart

Désormais les utilisateurs peuvent synchroniser anonymement le répertoire que vous avez programmé par la commande:

rsync -avP www.montsite.org::astuces /mon/dossier/a/synchroniser/

Notez que dans la commande ci dessus, astuces est appelé module par rsync. Ce module correspond à la section entre crochets que vous avez défini dans le fichier de configuration ([astuces])

Autres sources d’information:

http://doc.ubuntu-fr.org/rsync
http://prendreuncafe.com/blog/?q=rsyncd
http://man.developpez.com/man5/rsyncd.conf.5.php

Créer (compiler et packager) ses programmes en paquet .deb pour ubuntu ou debian

Le programme Debdevel permet de créer facilement et rapidement des paquet deb pouvant être installés sur Ubuntu, mais aussi toutes les dérivées de debian utilisant le gestionnaire de paquets apt (knoppix, mepis, …), à partir de vos propres programmes ou à partir de sources d’autres programmes.

Vous pourrez packager vos programmes, quel que soit le language de programmation (python, bash, C, …), voire même des documentations, fiches techniques, fichiers texte, … (bien que l’intérêt en soit limité, ça reste possible).

Mais ce logiciel (cette suite de logiciels, en fait), va plus loin, puisqu’elle vous permet aussi de:

  • Générer automatiquement des squelettes de documentation qu’il ne reste plus qu’à remplir (il est possible de rajouter vos propres modèles de documentation, au format voulu),
  • Créer un dépôt personnel en local,
  • Gérer un dépôt public (local ou distant),
  • Gérer trois niveaux de développement (dev, beta et stable),
  • Publier seulement l’un ou plusieurs niveaux de développement, et garder les autres privés,
  • Gérer autant de paquets que désiré, dans chacun des niveaux de développement,
  • Gérer autant de dépôts que désiré,
  • Tout faire graphiquement, sans ligne de commande ,
  • Tout fonctionne avec le clic droit de nautilus (bientôt konqueror et dolphin pour les utilisateurs de KDE, mais les logiciels fonctionnent cependant en ligne de commande avec KDE) ,
  • Trouver facilement une dépendance dans l’ensemble de vos paquets,
  • Trouver facilement et rapidement un terme ou du code dans l’ensemble des scripts de vos paquets,
  • Et d’autres choses en cours de développement.

Menu du clic droit

Bref, il faut 3 minutes sans connaissance particulière pour créer un dépôt, 3 minutes pour créer un paquet et y installer votre programme, 1 minute pour en faire un paquet deb et une minute pour le rendre public et accessible à vos utilisateurs par leur gestionnaire de paquet (apt-get, aptitude ou synaptic) qui les avertira automatiquement lorsqu’une mise à jour sera disponible. Et la mise à jour d’un paquet (en dehors du temps de correction de votre programme) prend moins d’une minute.

De quoi développer rapidement et facilement, sans se préoccuper de gérer les versions ou craindre de mélanger les programmes de dev avec les versions publiques, et éviter de passer du temps à se demander comment créer un paquet deb pour les publier!

Précisons quand même que ce programme ne développera pas de programmes à votre place mais vous simplifiera le packaging et la distribution de ceux ci.

La documentation est accessible ici . Elle vous indique toutes les procédures, du téléchargement à l’utilisation.

Utiliser kprinter avec openoffice.org3 sur Ubuntu

Les boites de dialogue natives d’openoffice sont loin d’être…jolies, disons.

De plus, l’accès aux options des imprimantes est très peu ergonomique.

Heureusement, il existe une possibilité d’utiliser kprinter, le gestionnaire d’impression de KDE, qui est plus joli que celui de cups .

Installez le paquet kdeprint, qui contient kprinter.

Localisez le programme spadmin (si vous avez installé à partir des deb fournis par openoffice.org, il se trouve dans /opt/openoffice.org3/program ) et lancez le par un double clic.(1)

Dans la fenêtre, cochez la case Désactiver le support de cups, ce qui ne laissera de visible qu’une seule imprimante: Generic Printer.

Ensuite, il faut la modifier de manière à ce qu’elle n’apparaisse pas comme choix avant le lancement de kprinter.

  • Cliquez sur propriétés…
  • Dans l’onglet Commande, entrez kprinter dans la première liste déroulante.
  • Cochez la case utiliser la boite de dialogue d’impression du système
  • Entrez kprinter dans la commande pour l’impression rapide sans boite de dialogue
  • Cliquez sur OK
  • Cliquez sur Fermer

Vous pouvez désormais imprimer avec OpenOffice en utilisant l’interface de kprinter.

(1) – Vous pouvez aussi lancer le programme par Applications/Bureautique/Gestion des imprimantes de openoffice.org3. Mais il arrive que ce raccourci ne soit pas disponible. Lancer directement spadmin fonctionne à chaque fois.

PS: cette configuration ne fonctionne pas avec OpenOffice2.4

PS2: cette configuration n’est activée QUE pour l’utilisateur l’ayant lancée. Elle est à faire pour tous les utilisateurs. Cependant, la configuration est réglée dans ~/.openoffice.org/3/user/psprint/psprint.conf et le fichier peut être copié chez les autres utilisateurs.

Boite de dialogue enregistrer d’openoffice.org

Après une mise à jour (récupération d’un profile sur un ordinateur fraîchement installé), openoffice.org s’est retrouvé avec des boites de dialogue (en particulier « enregistrer sous… ») d’un aspect vieillot et peu pratique pour mes utilisateurs.

Aspect ancien de la boite de sauvegarde

Après quelques minutes de recherche, j’ai trouvé le fichier en cause.

Fermez openoffice (le lanceur rapide également le cas échéant) et supprimez le fichier « .openoffice.org 2/user/registry/data/org/openoffice/Office/Common.xcu » du profile concerné, puis relancez openoffice.org.

Vous ne perdrez aucun des réglages (seuls les derniers fichiers ouverts ont été perdus), mais vous retrouverez une boite de dialogue claire et adaptée au thème.

Boite de dialogue correcte

Augmenter les résolutions disponibles

pour m’éviter de chercher et l’avoir une fois pour toutes noté quelque part:

Section "Monitor"
Identifier      "Configured Monitor"
HorizSync       30.0 - 83.0
VertRefresh     55.0 - 75.0

EndSection

et

Section "Screen"
Identifier      "Default Screen"
Monitor         "Configured Monitor"
Device          "Configured Video Device"
DefaultDepth    24
SubSection "Display"
Depth        24
Modes        "1024x768" "960x600" "800x600"
EndSubSection

Ceci permet d’indiquer au serveur X qu’il peut sortir du mode sécurisé des dimensions 640×480 et 800×600 pour monter en fréquence vers des dimensions supérieures.

Plus d’options lors de la capture d’écran sous gnome

Rédaction pour gnome 2.22.3

Si vous appuyez sur la touche impr, vous aurez une fenêtre  avec une capture d’écran immédiate vous demandant où sauvegarder la capture.

Par contre, si vous allez dans Applications/Accessoires/Capture d’écran, vous aurez accès à plus d’options (capturer l’ensemble du bureau ou la fenêtre active, un délai avant capture vous permettant d’effectuer des opérations comme l’affichage de menus pour la capture, et la possibilité d’appliquer des effets)

Mais vous voudriez peut être accéder à cette fenêtre directement en appuyant sur la touche impr ?

Suivez les indications suivantes:

  • Ouvrez un terminal (ou lancez la commande par Alt+F2) et entrez la commande gconf-editor. Validez
  • Dans la colonne de gauche, naviguez jusqu’à apps/metacity/keybinding_commands
  • Dans la fenêtre de droite, trouvez la ligne command-screenshot
  • Double cliquez  sur cette ligne et modifiez la commande en rajoutant « -i » de façon à obtenir « gnome-screenshot -i« 
  • Validez, fermez, la modification est immédiate et vous pouvez la tester immédiatement en appuyant sur la touche impr

L’opération inverse (enlever le « -i« ) supprime la modification

Installer Virtualbox sur ubuntu

Ajouter au sources.list:

deb http://download.virtualbox.org/virtualbox/debian hardy non-free
deb http://download.virtualbox.org/virtualbox/debian gutsy non-free
deb http://download.virtualbox.org/virtualbox/debian dapper non-free
deb http://download.virtualbox.org/virtualbox/debian lenny non-free
deb http://download.virtualbox.org/virtualbox/debian etch non-free
deb http://download.virtualbox.org/virtualbox/debian sarge non-free

Installer la clef du dépôt :

$ wget -q http://download.virtualbox.org/virtualbox/debian/sun_vbox.asc -O- | sudo apt-key add -

Envoyer un mail avec pièces jointes en python

Envoyer un mail avec pièces jointes avec python est simple en utilisant le code ci dessous.


import smtplib

import os
from email.MIMEMultipart import MIMEMultipart
from email.MIMEBase import MIMEBase
from email.MIMEText import MIMEText
from email.Utils import COMMASPACE, formatdate
from email import Encodersdef send_mail(send_from, send_to, subject, text, files=[], server="localhost"):

assert type(send_to)==list
assert type(files)==list
msg = MIMEMultipart()
msg['From'] = send_from
msg['To'] = COMMASPACE.join(send_to)
msg['Date'] = formatdate(localtime=True)
msg['Subject'] = subject
msg.attach( MIMEText(text) )

for f in files:
part = MIMEBase('application', "octet-stream")
print f
part.set_payload( open(f,"rb").read())
Encoders.encode_base64(part)
part.add_header('Content-Disposition', 'attachment; filename="%s"' % os.path.basename(f))

msg.attach(part)

smtp = smtplib.SMTP(server)
smtp.sendmail(send_from, send_to, msg.as_string())
smtp.close()

retour = "Une erreur s'est produite lors de l'envoi de mail"
files = [ 'monfichier1.zip', '/tmp/le_fichier.pdf' ] # les pièces jointes avec leur chemin
destinataires = [ 'moi@monsite.com', 'moncopain@chez.lui' ]

try:
send_mail('expediteur@monsite.com', destinataires , "Sujet du mail", "Texte du message",files , 'smtp.free.fr')
except:
send_mail('expediteur@monsite.com', [ 'adresse@secours.fr'] , " [ERROR ] Sujet du message", retour ,[] , 'smtp.free.fr')

C’est tout!

Ah, si!

  • N’utilisez pas ceci à tout va: il est facile de se faire blacklister avec l’étiquette « spammeur ». Et il est très difficile de se faire dé-blacklister.
  • Attention à la taille des pièces jointes. Si vous dépassez la taille limite de votre FAI (30Mo chez free), une erreur bloque le script avec un message du type:  smtplib.SMTPSenderRefused: (552, ‘Message size exceeds fixed limit’, ‘expediteur@monsite.com’)

Répondre une seule fois aux questions d’installation des paquets

Lorsque vous avez à installer plusieurs machines identiquement, vous allez répondre à chaque fois aux questions d’installation de tous les paquets.

Quand on a configuré une machine, il est possible de transférer toutes les réponses d’installations.

Installez debconf-utils sur tous les ordinateurs.

Sur la machine installée:

debconf-get-selections > /tmp/reponses.txt

Copiez le fichier reponses.txt sur un support ou par le réseau sur la machine à installer.

Sur la machine à installer:

debconf-set-selections -c  /media/reponses.txt # option -c pour tester le fichier

debconf-set-selections   /media/reponses.txt # installation des réponses dans la base de debconf /var/cache/debconf/config.dat

C’est utile pour les sauvegardes/restaurations rapides, pour installer rapidement plusieurs ordinateurs, pour reparamétrer en ligne de commande un logiciel, …

 Rappel:

Pour sauvegarder la liste des programmes installés: dpkg –get-selections > /tmp/listprog.txt

Pour installer l’ensemble des logiciels sur la seconde machine: dpkg –set-selections < /media/listprog.txt

Convertir une vidéo en flv

Pour faire simple, on va utiliser les actions de nautilus.

  • Installer les paquets suivants:  ruby nautilus-action et ffmpeg
  • Aller dans le menu Système / Préférences / Configuration des actions de nautilus
  • Cliquez sur Ajouter une action et remplissez tel que sur la capture
  • Action nautilus: convertir en flv
  • Dans l’onglet conditions, sélectionnez fichiers seulement
  • Validez

Dorénavant, il suffit de faire un clic droit sur une vidéo pour la convertir en flv.

Oui mais voila. Il semblerait que les métadonnées de la vidéo en flash ne soient pas correctes, et que la vidéo ne soit pas lisible correctement sur tous les navigateurs.

Pour corriger ceci, nous allons créer une autre action qui va corriger cela.

  •  Téléchargez les outils flvtool2 sur  http://rubyforge.org/frs/?group_id=1096&release_id=9694 . Sélectionnez zip pour windows, tar.gz pour linux.
  • Décompressez l’archive et ouvrez un terminal dans le répertoire où vous l’avez décompressée.
  • Exécutez les commandes suivantes pourl’installer:
  • ruby setup.rb config
  • ruby setup.rb setup
  • sudo ruby setup.rb install
  • Les retours normaux (sous Ubuntu 8.04) sont des flèches et des noms de fichier. Vous pouvez fermer le terminal.
  • Retournez dans les actions de nautilus et créez une nouvelle action suivant la capture suivante:
  • Action nautilus: traiter les metadonnées
  • Dans l’onglet « conditions », mettez « *.flv » dans le premier champ, puis sélectionnez « seulement des fichiers »
  • Validez

Il suffit maintenant de faire un clic droit sur le fichier flv nouvellement créer et de sélectionner « metadonnées flv » pour le rendre compatible.

Note:

Les icones sont mises au hasard. En effet, dans ubuntu hardy, je n’ai jamais pu avoir les icones sur les actions créées. Sans doute un bug dont il faudrait que je fasse un signalement lorsque j’aurais le temps.

Pour les plus paresseux, j’ai créé les actions qu’il suffit d’importer dans nautilus actions configuration nautilus pour convertir une video en flv et configuration nautilus pour convertir les metadonnées

Insérer un lecteur vidéo flash dans une page

Cette astuce a été testée avec succès sur dokuwiki.

Téléchargez l’archive  Télécharger flvplayer.rar, et décompressez la pour récupérer les fichiers flvplayer.swf et config_flvplayer.txt que vous copierez à la racine de votre site avec la vidéo .flv

Puis recopiez ce code sur votre page web, en adaptant à votre cas les parties en noires :

<object type="application/x-shockwave-flash" data="flvplayer.swf" width="480" height="360">
  <param name="movie" value="flvplayer.swf" />
  <param name="flashvars" value="config=config_flvplayer.txt" />
  <param name="wmode" value="transparent" />
  <param name="menu" value="false" />
</object>

Le fichier config_flvplayer.txt

flv=mavideo.flv
title=Ceci est le titre de ma video
width=240
height=180
margin=2
showstop=1
showvolume=1
autoload=1

Paramètres du Lecteur

Voici les différents paramètres optionnels pour ce lecteur, à ajouter dans votre fichier « config_flvplayer.txt » :

  • « flv= » indique l’adresse relative ou absolue du fichier flv.
  • « width= » largeur en pixel du film.
  • « height= » hauteur en pixel du film.
  • « buffer= » Le nombre de secondes pour la mémoire tampon (5 par défaut).
  • « buffermessage= » Le message de la mémoire tampon.
  • « buffercolor= » La couleur du texte du message tampon.
  • « bufferbgcolor= » La couleur de fond du message tampon.
  • « buffershowbg=0 » pour ne pas afficher le fond du message tampon.
  • « title= » Le titre affiché avant le chargement de la vidéo.
  • « titlesize= » La taille de la police du titre (20 par défaut).
  • « titlecolor= » La couleur du titre (ffffff par défaut).
  • « margin= » La marge de la vidéo par rapport au Flash (4 par défaut).
  • « autoplay=1 » pour lire automatiquement.
  • « autoload=1 » pour lancer le chargement.
  • « showstop=1 » pour afficher le bouton STOP.
  • « showvolume=1 » pour afficher le bouton VOLUME.
  • « showtime= » (1) pour afficher le temps, (2) pour afficher le temps restant.
  • « showplayer= » Affichage de la barre des boutons : autohide, always ou never.
  • « showloading= » Affichage du chargement : autohide, always ou never.
  • « loop=1 » pour boucler.
  • « startimage= » L’URL du fichier JPEG (non progressif) à afficher avant le chargement de la vidéo.
  • « playercolor= » La couleur de fond du lecteur (pas du flash).
  • « loadingcolor= » La couleur de la barre de chargement.
  • « bgcolor= » La couleur de fond.
  • « bgcolor1= » La première couleur du dégradé du fond.
  • « bgcolor2= » La seconde couleur du dégradé du fond.
  • « buttoncolor= » La couleur des boutons.
  • « buttonovercolor= » La couleur des boutons au survol.
  • « slidercolor1= » La première couleur du dégradé de la barre.
  • « slidercolor2= » La seconde couleur du dégradé de la barre.
  • « sliderovercolor= » La couleur de la barre au survol.
  • « onclick= » L’URL de la destination au click sur la vidéo. Par défaut à playpause qui signifie que la vidéo fait play ou pause au click. Pour ne rien faire, il faut mettre none.
  • « onclicktarget= » La cible de l’URL au click sur la vidéo. Par défaut à _self. Pour ouvrir une nouvelle fenêtre, mettez _blank.
  • « playertimeout= » Le délai en milliseconde avant que la barre du lecteur se cache (1500 par défaut).
  • « videobgcolor= » La couleur du fond de la vidéo quand il n’y a pas de vidéo.
  • « volume= » Le volume initial, entre 0 et 200 (100 par défaut).
  • « showfullscreen=1 » pour afficher le bouton pour le plein écran (nécessite Flash Player 9.0.16.60 ou supérieur).
  • « showswitchsubtitles=1 » pour afficher le bouton qui affiche/cache les sous-titres.
  • « loadonstop=0 » pour arrêter le chargement de la vidéo au STOP.
  • « phpstream=1 » pour utiliser un streaming PHP.
  • « ondoubleclick= » Action sur le double click : none, fullscreen, playpause, ou l’url à ouvrir.
  • « ondoubleclicktarget= » La cible de l’URL au double click sur la vidéo. Par défaut à _self. Pour ouvrir une nouvelle fenêtre, mettez _blank.
  • « showmouse= » Affichage de la souris : autohide, always ou never.

Problèmes:

Mes différents tests en mettant les fichiers vidéo ou de configuration ou du lecteur ailleurs que dans la racine ont donné que les fichier ne se lisait pas. Je subodore un  problème de cache, puisque quand je suis revenu à la configuration qui allait bien, un coup ça ne marchait pas, puis ça a remarché alors que je n’ai rien changé.

Installation d’Ubuntu sur Amilo Xa2528

L’installation d’Ubuntu 8.04 sur ce Fujitsu-Siemens ne se fait pas sans mal. Ni sans casser d’oeufs !

  • L’utilisation de live CD est exclue, aucune distribution ne peut démarrer.
  • L’utilisation de boot sur usb ne permet pas de démarrer l’ordinateur (en tout cas, echec de ma part, mais d’autres ont réussi)
  • L’installation de la netinstall permet d’aller jusqu’à la fin de l’installation mais le démarrage se bloque avec un message d’erreur (en fait, le message d’erreur concerne ata1 ou ata3 et tourne en boucle sur celle ci après des retry de 5 secondes). Pour que l’install se fasse, activer la console N°2 et lancer des modprobe sur ata_piix et  sd_mod.

Ma méthode d’installation a été la suivante:

  • Démontage du disque sata et montage sur un ordinateur opérationnel.
  • Mise à jour de l’installation
  • Mise à jour du noyau pour prendre le plus récent
  • update-pciids et update-usbids
  • Modification du fichier /etc/modules pour ajouter les modules ata_piix, pata_amd, fujitsu-laptop, fujitsu-ts
  • Modification du fichier /etc/initramfs-tools/modules pour ajouter les modules sd_mod, ide-generic, ata_piix, pata_amd,  fujitsu-laptop, fujitsu-ts
  • Reconstruction de l’initram avec la commande « update-initramfs -u »
  • Modification de /boot/grub/menu.lst pour ajouter l’option noapic au kernel de démarrage
  • arrêt de l’ordinateur puis remise en place sur le portable du disque d’origine

Résultat: Ubuntu démarre !

Un lspci:

00:00.0 RAM memory: nVidia Corporation C51 Host Bridge (rev a2)
00:00.1 RAM memory: nVidia Corporation C51 Memory Controller 0 (rev a2)
00:00.2 RAM memory: nVidia Corporation C51 Memory Controller 1 (rev a2)
00:00.3 RAM memory: nVidia Corporation C51 Memory Controller 5 (rev a2)
00:00.4 RAM memory: nVidia Corporation C51 Memory Controller 4 (rev a2)
00:00.5 RAM memory: nVidia Corporation C51 Host Bridge (rev a2)
00:00.6 RAM memory: nVidia Corporation C51 Memory Controller 3 (rev a2)
00:00.7 RAM memory: nVidia Corporation C51 Memory Controller 2 (rev a2)
00:02.0 PCI bridge: nVidia Corporation C51 PCI Express Bridge (rev a1)
00:03.0 PCI bridge: nVidia Corporation C51 PCI Express Bridge (rev a1)
00:04.0 PCI bridge: nVidia Corporation C51 PCI Express Bridge (rev a1)
00:09.0 RAM memory: nVidia Corporation MCP51 Host Bridge (rev a2)
00:0a.0 ISA bridge: nVidia Corporation MCP51 LPC Bridge (rev a3)
00:0a.1 SMBus: nVidia Corporation MCP51 SMBus (rev a3)
00:0a.3 Co-processor: nVidia Corporation MCP51 PMU (rev a3)
00:0b.0 USB Controller: nVidia Corporation MCP51 USB Controller (rev a3)
00:0b.1 USB Controller: nVidia Corporation MCP51 USB Controller (rev a3)
00:0d.0 IDE interface: nVidia Corporation MCP51 IDE (rev f1)
00:0e.0 IDE interface: nVidia Corporation MCP51 Serial ATA Controller (rev f1)
00:10.0 PCI bridge: nVidia Corporation MCP51 PCI Bridge (rev a2)
00:10.1 Audio device: nVidia Corporation MCP51 High Definition Audio (rev a2)
00:14.0 Bridge: nVidia Corporation MCP51 Ethernet Controller (rev a3)
00:18.0 Host bridge: Advanced Micro Devices [AMD] K8 [Athlon64/Opteron] HyperTransport Technology Configuration
00:18.1 Host bridge: Advanced Micro Devices [AMD] K8 [Athlon64/Opteron] Address Map
00:18.2 Host bridge: Advanced Micro Devices [AMD] K8 [Athlon64/Opteron] DRAM Controller
00:18.3 Host bridge: Advanced Micro Devices [AMD] K8 [Athlon64/Opteron] Miscellaneous Control
05:00.0 VGA compatible controller: nVidia Corporation GeForce 8600M GS (rev a1)
07:06.0 FireWire (IEEE 1394): VIA Technologies, Inc. IEEE 1394 Host Controller (rev c0)

Un lsusb:

Bus 002 Device 006: ID 058f:6366 Alcor Micro Corp.Bus 002 Device 005: ID 0402:5602 ALi Corp. Video Camera ControllerBus 002 Device 003: ID 0bf8:100f Fujitsu Siemens Computers

Bus 002 Device 001: ID 0000:0000

Bus 001 Device 007: ID 0a12:0001 Cambridge Silicon Radio, Ltd Bluetooth Dongle (HCI mode)

Bus 001 Device 006: ID 0461:4d05 Primax Electronics, Ltd

Bus 001 Device 001: ID 0000:0000

 Corrections apportées à l’installation:

  • Audio sur les haut parleurs: créer un fichier /etc/modprobe.d/sound contenant:

alias snd-card-0 snd-hda-intel

options snd-hda-intel index=0 model=3stack-dig

Par contre, après, plus de son au casque… (?)

Reste à voir:

  1. Un message d’erreur concernant un élément IDE lors du boot. Provient du lecteur DVD (problème connu). La recompilation du noyau est nécessaire pour le faire fonctionner (A faire dès que j’aurais du temps)Corrigé et fonctionnel avec le noyau recompilé (voir plus bas)
  2. Les périphériques de l’ordinateur, si tout est fonctionnel (je ne pense pas)
  3. Remettre le disque sur l’autre ordinateur pour retailler la partition Vista qui prend beaucoup trop de place (d’autant que 12 Go sont réservés pour la restauration…)
  4. La molette analogique de réglage de volume est inefficace. Ceci dit, sous Vista livré avec le PC, elle ne fonctionne pas non plus.
  5. La webcam est reconnue mais il n’existe pas de driver linux fonctionnel. Un projet existe ( voir ici: http://forum.ubuntu-fr.org/viewtopic.php?pid=1536180#p1536180)
  6. Le wifi nécessite de passer par ndiswrapper et les drivers XP. Pas de besoin en wifi pour l’instant, mais penser à trouver les drivers XP au cas où. Les drivers que j’ai utilisé, trouvé chez les autres utilisateurs, ne fonctionnent pas pour moi. Ais je un matériel différent ou un problème d’installation ???
  7. Les touches de réglage (Fn+Fx) sont inefficaces. Si celles concernant le son affichent l’incrustation à l’écran, cela ne change en rien les réglages réels.
  8. Les touches d’accès rapide, au bas de l’écran, ne fonctionnent pas toutes. Celle de la webcam l’active/désactive et celle du navigateur fonctionne. Les autres semblent inactives. Du bricolage à faire avec des affectations, mais vu que je ne m’en sers pas…
  9. L’infra rouge ne fonctionne pas, et la télécommande non plus. Comme c’est un gadget (pour moi), pas de temps à y consacrer.
  10. Après divers essais, les modules fujitsu-laptop et fujitsu-ts ne semblent pas faire grand chose, que ce soit avec ou sans.

Ce qui fonctionne:

  • Le lecteur de carte SD. Bonne surprise, c’est un lecteur SD HC.
  • Le son au casque. Pas dans les HP, mais je m’y attendais. Résolu au dessus Le son dans les HP est OK, mais plus de son au casque ??? En plus, je trouve que la puissance sonore est assez légère, même avec tous les réglages à fond.
  • Le micro et skype fonctionne bien (utilisation quotidienne)
  • Le touchpad fonctionne correctement (mieux que sous vista: en glissant le doigt sur le bord droit du touchpad, on fait défiler la page, ce qui ne fonctionne pas avec vista!). Par contre, les boutons sont capricieux et il faut bien appuyer pour cliquer, autrement le bouton fait bien le clic, mais l’action n’est pas prise en compte (le clic senti est mécanique et sans rapport avec le clic du contacteur).
  • Bluetooth fonctionnel « out of box ».
  • L’installation des drivers Nvidia est bien gérée et l’accélération 3D est active sans problème. L’installation de compiz permet d’accéder aux effets. L’utilisation d’envy permet de mettre le driver nvidia « qui va bien » et de paramétrer le dual screen avec la sortie DVI (en plus, avec le driver nvidia, la définition et la luminosité de l’affichage me semblent bien meilleurs. Impression ou réalité?)

Remarques:

  • Rien à voir avec l’installation, mais à l’usage, l’emplacement des leds d’indications me semble très mal choisi. Le pc en usage, les leds sont sous le poignet droit: non visibles. Le pc fermé, les leds sont complètement masquées, impossible de savoir si le pc est en veille ou arrêté…
  • Le clavier est agréable à utiliser. Sauf cette *%ù$ de touche majuscule droite trop petite qui rend galère l’utilisation des slash dont la touche est elle aussi réduite.
  • Pourquoi avoir mis une secondes touche avec les caractères « > » et »< » à un emplacement inhabituel ? (à droite de la touche majuscule droite)
  • C’est quoi cette autonomie de batterie ?! Mon ancien PC portable tenait 4 heures facilement, celui ci à peine 2h30 en limitant les services lancés. Il faut toujours courir après une prise électrique (heureusement que je tombe sur des caffetiers sympas qui permettent la recharge du PC dans mes attentes en gare)(j’ai acheté un chargeur solaire, encombrant mais efficace, qui me permet de presque doubler l’autonomie, et que je n’hésite pas à scotcher sur les lumières des sièges TGV (eh non, je ne voyage pas en première…). En plein été, c’est très efficace)

Mise à jour du 12/06/2008:

(source:  http://forum.ubuntu-fr.org/viewtopic.php?id=180604&p=3)

Voici les fichier fichier config  et fichier de configuration du noyau config.generic pour le recompilation du noyau.

Un script pour automatiser tout ça: Script de recompilation du noyau pour amilo xa2528

 Le WIFI (maj: 22/08/08)

– Installer ndiswrapper
– Installer le driver (=>google)
– Modifier /etc/modules pour ajouter ndiswrapper
– Redémarrer ou sudo modprobe ndiswrapper
ndiswrapper -l doit retourner

Code:

sis163u : driver installed
    device (0BF8:100F) present

– Si ça ne retourne pas la ligne device present (ce qui était mon cas), utiliser ceci:
Code:

sudo ndiswrapper -d 0bf8:100f sis163u

– Retenter un ndiswrapper -l
– Ca devrait fonctionner. Le périphérique est vu (iwconfig) et je vois les réseaux présents.
Ne reste plus que le WPA à voir.