[Résoudre] LibreOffice: document verrouillé par utilisateur inconnu

Parfois, avec LibreOffice, vous obtenez le message d’erreur suivant:

Le document ‘xxx.ods’ est verrouillé pour édition par :

Utilisateur inconnu

Ouvrez le document en lecture seule ou ouvrez une copie du document pour l’édition.

Lorsqu’il y a plusieurs utilisateurs susceptibles d’accéder au document, c’est peut être un poste dont les données d’identité n’ont pas été renseignées dans les options de LibreOffice. Il faut donc s’assurer que tous les postes ont ces informations de renseignées pour pouvoir trouver quel utilisateur accède actuellement au document.

Par contre, si vous êtes le seul à accéder à ce document, le problème vient du fait que votre document est sur un partage réseau (SMB, NFS, …), même si vous l’avez monté en local et que LibreOffice active par défaut le verrouillage du fichier. Sauf que, quand vous fermez celui ci, il ne relâche pas le fichier…

Une solution de contournement, mais seulement si vous êtes le seul utilisateur à accéder à ces documents, consiste à modifier le lanceur de LibreOffice afin qu’il n’active plus cette fonction par défaut.

Éditez le fichier (en root ou avec sudo) /usr/bin/soffice et modifiez:

SAL_ENABLE_FILE_LOCKING=1
export SAL_ENABLE_FILE_LOCKING

en

#SAL_ENABLE_FILE_LOCKING=1
#export SAL_ENABLE_FILE_LOCKING

Enregistrez, fermez. Vous pouvez désormais immédiatement ouvrir et enregistrer vos fichiers.

Ce n’est pas une solution officielle, et il y a un risque important de perte de données si plusieurs utilisateurs accèdent simultanément au même fichier, mais elle a le mérite de fonctionner et de débloquer les utilisateurs uniques qui travaillent sur un NAS.

Gardez cette page dans vos favoris, la mise à jour de LibreOffice risque bien de remplacer le fichier modifié et de faire ré-apparaitre le problème.

Mettre à jour une ancienne version d’ubuntu

Si vous avez une vielle version d’ubuntu qui n’est plus soutenue, il vous est encore possible d’installer certains logiciels ou d’effectuer un upgrade vers une version plus récente.

Les dépôts des anciennes releases qui ne sont plus supportées (comme la 10.04, 11.04, 11.10 et 13.04) sont déplacés vers un serveur d’archives. Ces dépôts sont accessible à  http://old-releases.ubuntu.com

La raison en est qu’elles sont désormais « hors support » et ne reçoivent plus ni mises à jour, ni correctifs de sécurité.

Si vous souhaitez continuer à utiliser une version périmée, alors éditez votre fichier /etc/apt/sources.list et modifiez archive.ubuntu.com en old-releases.ubuntu.com

Vous pouvez le faire avec sed en tapant la commande suivante dans un terminal:

sudo sed -i -re 's/([a-z]{2}\.)?archive.ubuntu.com|security.ubuntu.com/old-releases.ubuntu.com/g' /etc/apt/sources.list

puis upgradez avec:

sudo apt-get update && sudo apt-get dist-upgrade

Parfois, il est plus rapide de faire une sauvegarde des données importantes et d’installer une version récente que de faire la mise à jour ainsi.

Cependant, cela peut vous permettre d’installer des logiciel provisoirement ou de passer sur une LTS plus récente pour vous laisser le temps de planifier une réinstallation.

Tester sa vitesse de connexion Internet depuis le terminal

speedtest-cli permet de tester sa vitesse de connexion sans utiliser de navigateur, et sans les problèmes liés au flash nécessaire pour utiliser les sites de test. C’est un outil écrit en python fonctionnant sur Debian et dérivées, ainsi que sur Fedora et dérivées.

Pour l’installer, il vous faudra python-pip et lancer la commande suivante:

sudo pip install speedtest-cli

Ensuite, il suffit de lancer speedtest-cli pour avoir une idée du débit descendant et ascendant de votre ligne. Les valeurs obtenue sur la mienne sont variables (dépend de l’utilisation de la ligne, du PC, de l’heure) mais restent dans une fourchette qui permet de voir quel est le débit moyen.


usage: speedtest-cli [-h] [--bytes] [--share] [--simple] [--list]
[--server SERVER] [--mini MINI] [--source SOURCE]
[--timeout TIMEOUT] [--version]
Command line interface for testing internet bandwidth using speedtest.net.
--------------------------------------------------------------------------
https://github.com/sivel/speedtest-cli
optional arguments:
-h, --help show this help message and exit
--bytes Display values in bytes instead of bits. Does not affect
the image generated by --share
--share Generate and provide a URL to the speedtest.net share
results image
--simple Suppress verbose output, only show basic information
--list Display a list of speedtest.net servers sorted by
distance
--server SERVER Specify a server ID to test against
--mini MINI URL of the Speedtest Mini server
--source SOURCE Source IP address to bind to
--timeout TIMEOUT HTTP timeout in seconds. Default 10
--version Show the version number and exit

Résultat chez moi
Retrieving speedtest.net configuration...
Retrieving speedtest.net server list...
Testing from Free SAS (78.207.166.41)...
Selecting best server based on latency...
Hosted by Altanetica SL (Calonge) [80.18 km]: 188.878 ms
Testing download speed........................................
Download: 7.35 Mbit/s
Testing upload speed..................................................
Upload: 0.99 Mbit/s

Si vous utilisez l’option –share, vous obtiendrez l’adresse d’une image, montrant les résultats, que vous pourrez partager.

Pour faire la mise à jour, utilisez:

sudo pip install speedtest-cli --upgrade

[Memo] Thunar a les menus en anglais

Thunar-about-logoFaisant des tests avec XFCE, je me suis retrouvé avec Thunar (et d’autres applications) avec des menus en anglais, alors qu’à l’installation de Xubuntu tout était bien en français.

Comme la gestion de la langue est automatique et que chez tout le monde ça fonctionne, j’ai eu du mal à trouver la solution.

Je vous donne la mienne ici, si ça peut servir:

Le logiciel localepurge supprime trop de choses et vous vous retrouvez avec des menus en « franglais ». Il suffit de désinstaller ce logiciel et de réinstaller les logiciels de la liste suivante (avec un sudo apt-get install –reinstall paquet) pour que tout rentre dans l’ordre.

  • gtk2-engines-xfce (moteur de thème Xfce)
  • libxfce4menu-0.1-0 (gestion du menu)
  • libxfcegui4-4
  • xfce4-appfinder
  • xfce4-mixer
  • xfce4-panel (panneau Xfce)
  • xfce4-places-plugin
  • xfce4-screenshooter
  • xfce4-session (c’est celui là pour le dialogue de déconnexion)
  • xfce4-settings (gestionnaire de configuration)
  • xfce4-terminal (le terminal Xfce)
  • xfdesktop4 (gestionnaire du bureau)
  • xfwm4 (gestionnaire de fenêtres)
  • thunar (gestionnaire de fichiers)
  • mousepad (éditeur de texte)
  • xfconf (démon de configuration)
  • thunar-data (contient les fichiers de traduction de thunar)
  • orage (calendrier Xfce)
  • xfce4-clipman-plugin (Gestion du presse-papier)
  • exo-utils
  • xfdesktop4-data (contient les fichiers de traduction de xfdesktop)
  • thunar-media-tags-plugin
  • thunar-archive-plugin
  • thunar-volman
  • thunar-thumbnailers

source: http://forum.ubuntu-fr.org/viewtopic.php?id=349559

[Memo] Supprimer une règle Iptables

Lister les règles avec un numéro de ligne :
iptables -L INPUT -n --line-numbers

Supprimer une ligne particulière (avec le numéro de la colonne de gauche) :
iptables -D INPUT numeroDeLaLigneASupprimer

 

Source: http://nicolasolivero.wordpress.com/2010/01/24/supprimer-une-regle-iptables/

Gérer les disques windows virtuels (virtualbox)

Lorsqu’on utilise windows, certaines opérations de maintenances sont obligatoires, en particulier la gestion de l’espace libre dans les machines virtuelles.vbox_logo2_gradient

En effet, Windows  (au moins sur XP, j’ignore ce qu’il en est exactement sur les autres versions, mais à l’usage, cela semble identique) préfère utiliser l’espace libre qui n’a pas déjà été utilisé. Si vous supprimez un fichier, l’espace disque qui lui était alloué est déclaré disponible, mais tant qu’il reste des zones du disque où rien n’a été précédemment écrit, Windows préférera utiliser celles ci. On peut voir ça comme un avantage permettant la récupération de fichiers effacés, mais dans une machine virtuelle, le disque virtuel enflera jusqu’à la taille maximum qui lui a été allouée en peu de temps sans que son contenu n’ait augmenté.

Ça n’est pas forcément gênant en soi, sauf quand on veut faire des sauvegardes du fichier vdi ou transférer le disque sur un autre ordinateur, puisque l’on va inutilement transférer des informations sensées être supprimées.

Cet article servira de pense bête afin de centraliser les commandes utiles. Pensez à effectuer toutes les sauvegardes nécessaires avant d’agir sur votre système, je ne suis pas responsable des problèmes que vous pourriez rencontrer! Les commandes sont données pour linux, mais ce sont les mêmes pour Windows, à vous d’adapter les chemins et de lancer celles ci depuis un terminal de commande.

1 – Vider le disque

Première chose à faire, dans la machine virtuelle, supprimer les cookies et les fichiers temporaires. Et en particulier les téléchargements d’installateurs de logiciels (qui peuvent être conséquents) et les dossiers temporaires qu’ils créent. Les moteurs de recherche vous indiqueront les dossiers concernés en fonction de vos logiciels.

Pensez aussi à vider la corbeille, en particulier de tous les utilisateurs. En effet, certains ne le font jamais et on retrouve parfois des gigas entiers de données inutiles dans celles ci.

2 – Défragmenter le disque

Une fois les fichiers inutiles supprimés, il faut défragmenter le disque pour récupérer encore un peu d’espace, mais surtout pour rassembler les fichiers. J’aime bien utiliser Auslogic disk defrag parce qu’il a une option pour optimiser les fichiers du disque et pour éteindre l’ordinateur une fois qu’il a fini, mais n’importe quel défragmenteur (y compris celui intégré à windows) peut faire l’affaire.

3 – Vider l’espace libre

L’espace libéré n’est pas encore complètement vide. Pour le vider complètement pour l’étape suivante, il faut remplir de zéros tous les emplacement libres. Vous pouvez utiliser nullfile ou les utilitaires de microsoft avec sdelete de la suite des sysinternals. J’utilise soit l’un, soit l’autre, indifféremment.

Avec sdelete, téléchargez le, extrayez le et copiez le dans C:\windows. Ouvrez ensuite un terminal, puis entrez la commande sdelete -z C:\ (l’option -z indiquant de mettre à zéro les blocs libres). Arrêtez ensuite la machine virtuelle.

4 – Compacter le disque virtuel

Pour compacter le disque virtuel, entrez la commande suivante:

vboxmanage modifyhd /chemin/vers/disque/disque.vdi --compact

C’est relativement rapide, selon la taille initiale du disque. Sur certains systèmes, le gain se compte en gigaoctets, donc c’est intéressant à faire avant de transférer le disque image lorsque le besoin se fait sentir. Cette opération ne laisse dans le disque que les blocs ne contenant pas que des zéros, d’où l’utilité de l’étape précédente.

5 – Augmenter la taille du disque

Si malgré les opérations précédentes vous êtes quand même à l’étroit dans votre windows, c’est sans doute quze vous aviez prévu un peu juste lors du choix de la taille du disque. Il est possible d’augmenter la taille du disque sans devoir tout réinstaller. Utilisez la commande suivante, par exemple pour augmenter le disque à la taille de 20Go:

vboxmanage modifyhd /chemin/vers/disque/disque.vdi --resize 20000

Adaptez bien sûr le chemin vers votre image disque et la taille désirée.

Il faut ensuite lancer votre machine virtuelle avec un live CD pour utiliser gparted afin d’agrandir la partition Windows à tout l’espace disponible pour qu’il puisse prendre en compte l’espace que vous venez d’ajouter. Le live CD gparted fonctionne bien.

Pensez que lorsque vous démarrerez votre windows, il fera une vérification du système de fichiers.

C’est fini, ou presque.

Deux dernières commandes pratiques que je saurais où retrouver.

Pour voir les machines virtuelles lancées, en ligne de commande (par exemple en SSH), et connaitre leur nom:

vboxmanage list runningvms

Pour arrêter une machine virtuelle en ligne de commande:

vboxmanage controlvm winxp2 poweroff (où winxp2 est le nom de la machine obtenue avec la commande précédente)

Voila, rien de bien original ou nouveau, mais toutes les commandes de bases dans un seul endroit me facilitera la vie.

Déplacer les base mysql sur Ubuntu

J’ai voulu déplacer des bases mysql pour les placer sur une autre partition, mais sur Ubuntu, il ne suffit pas de déplacer les bases pour pourvoir relancer le serveur, même en ayant modifié le fichier my.cnf.

L’erreur était la suivante dans le fichier /var/log/mysql/error.log

/usr/sbin/mysqld: Can't find file: './mysql/plugin.frm' (errno: 13)
120902 16:57:07 [ERROR] Can't open the mysql.plugin table. Please run mysql_upgrade to create it.
120902 16:57:07  InnoDB: Initializing buffer pool, size = 8.0M
120902 16:57:07  InnoDB: Completed initialization of buffer pool
120902 16:57:07  InnoDB: Operating system error number 13 in a file operation.
InnoDB: The error means mysqld does not have the access rights to
InnoDB: the directory.
InnoDB: File name ./ibdata1
InnoDB: File operation call: 'open'.
InnoDB: Cannot continue operation.

J’ai heureusement trouvé la solution sur La case de l’oncle tom après avoir beaucoup cherché mais en n’ayant trouvé que des suggestions non fonctionnelles pour mon problème.

Le problème vient de apparmor qui ne considère pas le nouvel emplacement comme fiable. Il suffit donc de modifier le fichier /etc/apparmor.d/usr.sbin.mysqld comme indiqué pour pouvoir relancer mysql.

Pourtant, comme le dit Daniel, le fichier my.cnf comporte bien l’avertissement suivant:

# * IMPORTANT
#   If you make changes to these settings and your system uses apparmor, you may
#   also need to also adjust /etc/apparmor.d/usr.sbin.mysqld.

Comme quoi, vouloir aller trop vite pour gagner du temps et se jeter sur le net n’est pas toujours la bonne solution…

Note a moi même: prendre l’habitude de lire les commentaires des fichiers de configuration, ça peut aider.

Source: La case de l’oncle tom

Konica Minolta Bizhub 350 et cups

Après avoir encore une fois perdu du temps à retrouver comment le faire fonctionner, je le note pour pouvoir le retrouver.

Ensuite, ça fonctionne en utilisant le premier driver de la catégorie KONICA MINOLTA (je ne l’ai pas noté…)

A noter que cela est valable pour tous les modèles de la liste suivante:

  • bizhub 7222, 7322, 7228, 7235
  • 7145
  • 7155, 7165, Force 65
  • 7255, 7272
  • 7075, Force 75
  • 7085, Force 85
  • bizhub PRO 1050/1050P
  • bizhub 350/250/200
  • bizhub 500/420/360
  • bizhub 501/421/361
  • bizhub 750/600
  • bizhub 920/PRO 920
  • bizhub C250/C250P
  • bizhub C252
  • bizhub C351
  • bizhub C352/C352P/C300
  • bizhub C353/C353P/C253/C203
  • bizhub C450/C450P
  • bizhub C451
  • bizhub C650/C550
  • magicolor 8650

Utiliser wget pour télécharger un site entier

C’est plus un pense bête qu’une astuce, et ça m’évitera de chercher encore une fois.

Pour l’anecdote, j’ai scripté cet usage afin de garder une copie de sauvegarde d’un site hébergé chez le prestataire d’un client qui a des « problèmes » avec celui ci. En cas de…je ne sais pas, mais au cas où, j’ai une copie de sauvegarde permettant une reprise sans avoir à tout recréer de zéro (images, mise en page, css,…). Et j’ai ainsi l’évolution des modifications sur les x derniers jours (une sorte de google cache en local)

Si vous voulez télécharger un site entier, peut être pour le visiter off-line, wget peut le faire . Par exemple:

$ wget \
     --recursive \
     --no-clobber \
     --page-requisites \
     --html-extension \
     --convert-links \
     --restrict-file-names=windows \
     --domains website.org \
     --no-parent \
         www.website.org/tutorials/html/

Cette commande va télécharger le site  www.website.org/tutorials/html/.

Les options sont:

  • –recursive: télécharge le site web entier.
  • –domains website.org: ne suit pas les liens pointant hors du domaine website.org.
  • –no-parent: ne suis pas les liens pointant hors du dossier tutorials/html/.
  • –page-requisites: récupère tous les éléments qui composent la page (images, CSS et cie).
  • –html-extension: enregistre les fichiers avec l’extention .html.
  • –convert-links: convertit les liens afin qu’ils fontionnent localement (off-line).
  • –restrict-file-names=windows: modifie les noms de fichiers afin qu’ils fonctionnent aussi sur Windows.
  • –no-clobber: n’écrase pas les fichiers déjà existants (utilisé en cas de téléchargement interrompu et repris).

Il peut aussi être important d’ajouter les options --wait=9 --limit-rate=10K qui éviteront de surcharger le serveur qui vous fournit les pages et d’éviter, éventuellement, de vous faire blacklister par un admin un peu pointilleux.

  • –wait=X : attend X secondes entre chaque téléchargement
  • –limit-rate=XK : limite la bande passante utilisée à X Ko/s

Utiliser ces options permet plus de souplesse que de simplement utiliser l’option -m (mirror).

Notez que wget existe aussi sous windows.

source: http://www.linuxjournal.com/content/downloading-entire-web-site-wget

Entête Crontab

Pour mémo, voici les lignes devant être présentes en entête de crontab pour éviter les soucis. En effet, le cron utilise son propre processus/shell au lancement, et on a parfois des erreurs difficiles à cerner de chemin non trouvé ou de langage.

A adapter à votre situation

# m h  dom mon dow   command
MAILTO= »monadressel@monfai.fr »
PATH=/usr/local/sbin:/usr/local/bin:/usr/sbin:/usr/bin:/sbin:/bin:/usr/games
SHELL=/bin/bash
LC_ALL=fr_FR.UTF-8

Traduisez les sites en un clic avec google

Ne pas se froisser avec l'Europe...

Lost in translation (Je suis perdu dans ma traduction)

Auparavant , google permettait l’accès à un outil permettant la traduction d’une page en un clic, en mettant un marque page dans la barre personnelle. Bien pratique pour naviguer sur des forums en norvégien, russe ou tagalog que je pratique peu mais qui sont parfois les seuls à contenir les infos que l’on cherche.

J’ai essayé de remettre la main sur la page en question ((google, traductions, outils, liens de traduction)) ,  mais impossible. Si vous savez où le retrouver, indiquez le moi dans les commentaires.

Heureusement, il est possible de refaire la même chose, puisque j’ai gardé une version sur l’une de mes machine. Il m’a suffit de reprendre l’adresse du raccourci.

Back to the future (retrouver la fonction en avance sur son temps)

Pour recréer le bouton, sous firefox, faites un clic droit sur la barre personnelle, et choisissez nouveau marque page. Nommez le Français (ou ce que vous voulez), puis copiez le code ci dessous dans le champ d’adresse:

javascript:var%20t=((window.getSelection&&window.getSelection())||(document.getSelection&&document.getSelection())||(document.selection&&document.selection.createRange&&document.selection.createRange().text));var%20e=(document.charset||document.characterSet);if(t!=''){location.href='http://translate.google.fr/translate_t?text='+t+'&hl=fr&langpair=auto|fr&tbb=1&ie='+e;}else{location.href='http://translate.google.fr/translate?u='+escape(location.href)+'&hl=fr&langpair=auto|fr&tbb=1&ie='+e;};

Enregistrez et rendez vous ensuite sur un site « en étranger » (par exemple http://edition.cnn.com/ ou Ubuntu, c’est vraiment le cirque en Allemagne ) puis cliquez sur le bouton du marque page créé. Le site sera automatiquement traduit.

A simple plan (Faisons simple)

Il y a une méthode encore plus simple! Faites glisser le lien ci dessous (ne cliquez pas dessus, faites le glisser) dans votre barre personnelle puis lâchez le. Vous aurez le bouton souhaité.La méthode est identique avec Opera, sauf qu’il faut appuyer sur majuscule pour lâcher le bouton en barre d’outils.

Français

Plus loin (que le bleu du ciel)

Si vous voulez des boutons dans d’autres langues, il suffit de modifier les « fr » du code par l’abréviation de la langue désirée.

Cette méthode doit pouvoir fonctionner avec les autres navigateurs et les autres systèmes d’exploitation. Si ça marche pour vous, merci de l’indiquer dans les commentaires.

Désactiver le lancement de GDM sur Lucid

Sur l’une de mes machine, destinée à un usage spécifique dont je parlerais plus tard, j’avais besoin d’avoir une interface graphique pour l’installation et le réglage d’un logiciel particulier.

Mais une fois celui ci configuré, je souhaitais que GDM ne se lance plus, sauf à la demande. J’ai donc installé une version « desktop » puis j’ai cherché à désactiver GDM.

Or, si cela était évident (ou du moins connu) dans les versions précédentes, en supprimant le lien de lancement dans /etc/rc2.d ou avec update-rc.d, avec upstart c’est désormais différent.

Les programmes lancés au démarrage sont situés dans des fichiers de configuration placés dans /etc/init. Celui qui nous intéresse est gdm.conf.

Il faut modifier le fichier de la manière suivante:

de

# gdm - GNOME Display Manager
#
# The display manager service manages the X servers running on the
# system, providing login and auto-login services
 
description    "GNOME Display Manager"
author        "William Jon McCann &lt;<a class="linkification-ext" title="Linkification: mailto:mccann@jhu.edu" href="mailto:mccann@jhu.edu">mccann@jhu.edu</a>&gt;"
 
start on (filesystem
          and started dbus
          and (drm-device-added card0 PRIMARY_DEVICE_FOR_DISPLAY=1
          or stopped udevtrigger))
stop on runlevel [016]
 
emits starting-dm
 
env XORGCONFIG=/etc/X11/xorg.conf
...

à

# gdm - GNOME Display Manager
#
# The display manager service manages the X servers running on the
# system, providing login and auto-login services
 
description    "GNOME Display Manager"
author        "William Jon McCann &lt;<a class="linkification-ext" title="Linkification: mailto:mccann@jhu.edu" href="mailto:mccann@jhu.edu">mccann@jhu.edu</a>&gt;"
 
start on []
#start on (filesystem
#          and started dbus
#          and (drm-device-added card0 PRIMARY_DEVICE_FOR_DISPLAY=1
#          or stopped udevtrigger))
stop on runlevel [016]
 
emits starting-dm
 
env XORGCONFIG=/etc/X11/xorg.conf
...

Relancer ensuite l’ordinateur, GDM ne se lancera plus au démarrage, et vous pourrez alors vous connecter sur les consoles.

Ce n’est pas une astuce exclusive, mais j’ai perdu assez de temps à chercher la réponse que je le note pour savoir où le retrouver.

Ne vous affolez pas parce que vous serez en mode texte, vous verrez qu’on arrive à faire des choses sympas ensuite.

Par exemple, vous pouvez vous identifier avec votre mot de passe et lancer la commande startx pour lancer votre environnement graphique.

Dans un prochain article, nous verrons qu’il y a mieux…