Enfin un FabLab à Perpignan!

Internet est une mine d’information sur tous les domaines, on y trouve des infos, des tutoriels, des conseils, des forums où demander de l’aide, des documentations techniques, des catalogues, des vidéos explicatives, …
Tout ce qui peut se verbaliser ou se rédiger.
Mais si internet est si vaste, il est aussi rapide de s’y perdre (et finir par regarder des vidéos de chatons troooop mignons), de mal comprendre les informations rédigées souvent dans une autre langue, ou de trouver des informations périmées.
Et puis internet fonctionne à sens unique: de l’internet vers vous. Impossible de dire à la vidéo « hé! Attend, comment tu as fais ton truc, là? Moi j’y arrive pas. » et d’obtenir une réponse rapide.
Ensuite, internet ne vous apporte pas, malgré tous les amis que vous pourriez vous y faire, une chose importante qui est le contact humain.

C’est pour ça que les FabLab sont une chose importante. On peut y partager bien plus que des connaissances: un café, une relation privilégiée autour d’un objectif commun, un enrichissement personnel sur un domaine qu’on n’aurait pas abordé spontanément sans accompagnement. Et tout un tas d’autres choses.
Sans compter la mise à disposition (accompagnée) de matériel souvent hors de portée financière ou pour un besoin ponctuel.
Lorsqu’on est seul sur un projet, il est courant de perdre du temps sur un problème mineur qui peut être bloquant. Un œil extérieur, une écoute intéressée ou un conseil technique permettent souvent de débloquer la situation. Et dans une bonne ambiance!

Bref, si vous êtes convaincus, ou simplement curieux, et que les nouvelles technologies vous intéressent, je ne peux que vous encourager à faire un saut à Squaregolab. Ils sont situés dans la ZI Saint charles (derrière Méca Précis).
J’y suis passé hier (et je repasserai par là, comme dit la chanson) découvrir ce qu’ils avaient; j’ai été très bien accueilli et assez impressionné du matériel disponible: ploteur, imprimantes 3D, fraiseuses numériques, coin électronique, boutique de petit matériel, ordinateurs, … et plein d’autres choses que je vous laisse découvrir sur place!

FabLab Perpignan

Squaregolab, un endroit clair et spacieux dédié aux nouvelles technologies

Vous trouverez sur leur site toutes les informations (horaires, projets, …), mais aussi sur place avec des choses en plus.

Raspberry Pi première approche

Après avoir en main le raspberry, je me suis empressé de l’installer et cet article me servira de notes centralisées.

1- Support Quick and Dirty pour la carte

La carte livrée sans boîtier ne pourrait pas résister longtemps à mon environnement de travail extrèmement bien organisé sur mon bureau : vis qui trainent, tournevis posés n’importe où, caches métalliques des boitiers pour les cartes filles, fils qui sont reliés à des choses inconnues jusqu’à ce que ce produisent de magnifiques petits arcs électriques fort agréables en cette période de fêtes, … Bref un bureau de travail, même si j’exagère un peu.

Bon, c’est une carte de test, donc un vrai boîtier n’est pas nécessaire pour l’instant, mais la carte doit être protégée un minimum.

Voyant les deux trous, j’ai pensé à utiliser les entretoises de carte mère en plastique, celles dont on ne sert plus depuis longtemps. Sauf que les miennes ne sont pas autocollantes.

Bien sûr, comme les trous du Raspberry ne sont pas assez gros, un petit coup de foret de 3,5 plus tard, ça fonctionne. Et pour de la stabilité, parce que deux pieds ne sont pas suffisant pour assurer la stabilité de la bête, une carte de crédit (périmée) quelconque et un peut de colle, et le tour est joué!

Ne reste plus maintenant qu’à brancher.

2- Installation du système

J’ai suivi les indications de cette page: http://route63.free.fr/blog/?p=1873

3- A suivre…

Note: je m’intéresse aussi fortement à ceci et cela

Hémiplégie

Joies et mystères de l’informatique….

Une utilisatrice m’appelle pour me dire que son poste est bloqué et qu’elle ne peut plus rien faire. Elle a beau cliquer sur les boutons de son logiciel, rien ne se passe. Par conséquent, elle a envoyé plusieurs résets à la machine qui a redémarré à chaque fois, mais elle ne peut rien faire.

Bon, me dis-je, la souris est morte, ou le système se fige, allons voir ce qu’il en est.

Le poste fait tourner une ubuntu 12.04, ce qui me permet en arrivant de me connecter en console, de voir que le système n’est ni occupé ni chargé, qu’il reste de la place sur les disques durs et que le bon utilisateur est loggué (login automatique) graphiquement.

Retour sur l’interface graphique, la souris déplace correctement le curseur, mais pas de clic. Impossible de lancer quoi que ce soit à la souris, mais le clavier est OK. Puis je me rends compte que le clic droit est fonctionnel, mais pas le clic gauche.

Problème identifié, changeons de souris. J’en sors une de la réserve, je la branche sur un autre port USB en façade et…pas de miracle, mêmes symptômes. Pourtant la souris est neuve! Je vais la tester sur un autre ordinateur, et pas de problème. De retour sur celui ci, rebelotte.

Inferni propter, me dis-je, il y a un problème avec le système, une mise à jour foireuse ou un réglage modifié. Testons le tout en live CD pour en être sûr. Et le problème est identique avec un système live…

Habituellement, la souris fonctionne, ou elle ne fonctionne pas. Mais quand elle ne fonctionne pas, c’est rien: pas de déplacement de curseur, pas de clic quel qu’il soit.

Donc je me met à soupçonner le matériel lui même, bien que si le port USB reçoit les déplacements de la souris, il devrait recevoir les ordres de clic, quels qu’ils soient.

Je m’arrête donc pour réfléchir en ignorant la pression de l’utilisatrice qui veut savoir pourquoi son poste n’est plus utilisable et je trouve la solution en une minute.

Et vous, auriez vous trouvé? Je vous laisse quelques jours pour donner votre solution, dire si j’ai fait une erreur, et laquelle, et ensuite je vous dirais ce qu’il en était.

Un indice: non debet operari in emergency.

Unity et le dual screen

C’est rien, mais j’ai cherché quelques minutes avant de trouver ce qui était sous mon nez…

Quand on active le dual-screen, il faut désormais se poser la question de savoir sur quel écran on désire le lanceur. Sur les deux? Celui de gauche? Celui de droite?

Ceci dit, si vous ne vous posez pas la question, un petit détail va vous faire rager rapidement: le passage d’un écran à l’autre est gêné par un ralentissement de la souris dû aux bords collants. Grrr!

Bon, c’est tout simple et il faut lire les fenêtres, même quand on croit les connaitre.

Dans le réglage d’affichage, sélectionnez l’écran sur lequel vous voulez le menu et si vous désirez les bords collants.

Equivalent à CHKDSK sous Linux

Il est bien évident qu’à choisir un système de fichier mon choix premier ne se porterait pas sur les formats Microsoft. Cependant, l’interopérabilité fait que le choix ne nous est pas forcément disponible.

Surtout quand on me transmet un disque externe  en me disant « Tiens, voilà la sauvegarde, prends en soin c’est la seule » et que je me rends compte que le système de fichier est dans les choux… ((d’ici à ce qu’on vienne dire que c’est parce que j’ai osé le brancher sur un Linux, il n’y a qu’un pas qui a déjà été franchi depuis longtemps!)).

Sueurs froides, tremblement, méditation et incantations :d plus tard, voici ce que ça donne.

Partitions FAT

Certains appareils (lecteur DVD, décodeur TNT, autoradio ou systèmes propriétaires) n’acceptent que les lecteurs externes au format VFAT. Or, quand il y a des problèmes sur la partition et qu’on veut la corriger, c’est dommage de ne garder un windows que pour ça.

Heureusement, le paquet dosfstools possède la commande dosfsck qui permet de le faire:

sudo dosfsck -a -t -w /dev/sdc1

Cette commande va nous permettre de vérifier le disque /dev/sdc1 en réparant automatiquement les erreurs sans confirmation (-a), en marquant les mauvais secteurs comme tels (-t) et en le faisant immédiatement (-w). Vous pouvez aussi ajouter les options -n (à la place de -w) pour simplement tester, -l pour afficher la liste des fichiers traités et -v pour avoir plus de sortie à l’écran.

Démontez votre disque sans le retirer avant de lancer la commande, mais dans les cas où je l’ai utilisée, le disque ne montait pas de lui même.

Partitions NTFS

Je n’ai pas trouvé de commande permettant de le faire. Si vous en connaissez une, je suis preneur.

La commande ntfsfix du paquet ntfsprogs permet de faire certaines réparations simples, mais pas une véritable vérification. Comme le dit le man:

ntfsfix est un utilitaire qui permet de résoudre certains problèmes NTFS communs. ntfsfix N’EST PAS une version Linux de chkdsk. Il répare seulement certaines incohérences fondamentales du NTFS, réset le journal NTFS et programme une vérification du système de fichiers au prochain boot de Windows.

Cependant, on peut s’en sortir sans avoir windows installé, simplement avec le CD d’installation (exemple pour XP) ((même si ça pique les yeux, tout ce bleu)):

  • démarrez un ordinateur où le disque est branché depuis le CD d’installation
  • Dans les choix qui vous sont donnés, choisissez R pour réparation
  • Quand vous êtes dans la console de réparation, lancez la commande CHKDSK C: /R. Si un seul disque est présent, vous pouvez omettre de le nommer.

Si vous n’avez pas le CD d’installation de windows, vous pouvez télécharger Revovery Console (RC.iso) fourni par The computer paramedic qui contient des outils de réparation et l’utiliser comme dans la méthode donnée ci dessus. Notez que si vous avez eu un ordinateur sans CD d’installation, il est utile de le télécharger pour l’avoir sous la main, y compris pour réparer le MBR

Pour Vista et Seven, la méthode est approximativement la même, même si elle n’apporte rien de plus. Démarrez avec votre DVD d’installation et adaptez la méthode à ce qui vous est proposé. Vous pouvez aussi consulter cette page même si l’accès aux consoles de réparation est devenu payant pour des problèmes de licences Microsoft ((Obligé de payer des licences à Microsoft pour permettre de réparer leur système… Comme quoi c’est un business de leur part, pas un bug. Encore un bonnet d’ÂNE mérité.)) depuis Aout 2011.

Rien ne va plus, tout est en panne

Au delà de la polémique qu’il peut y avoir sur le système d’exploitation ou des logiciels choisis, il faut se rappeler une chose: ce n’est pas qu’un système informatique peut tomber en panne, c’est qu’il va tomber en panne un jour ou l’autre.

Plus un commercial me vante la stabilité de son système, plus j’ai peur. Que ce soit dans l’informatique ou dans d’autres domaines. Or, aujourd’hui, l’informatique et les systèmes embarqués sont partout, y compris dans les voitures.

Là où un simple miroir ne peut pas se mettre en carafe, on remplace ceux ci par des caméras + écrans ((où le seul intérêt à mes yeux serait l’enregistrement des informations, le stockage, le traitement et la conservation des données, y compris envers la CNIL, rendent la chose compliquée et coûteuse)), là où un simple interrupteur fait son office, on installe un système intelligent sensé nous simplifier la vie ((mon micro ondes refuse de décongeler mon pain, considérant qu’il n’est pas assez lourd pour justifier la mise en route du four. Je suis obligé de rajouter du poids (2 verres d’eau) pour que la pesée fonctionne et que le four( daigne adapter sa puissance au produit…)), là où in simple téléphone permettait d’appeler les secours, il lui faut maintenant une alimentation et il ne fonctionne plus en cas de coupure électrique.

Plus on rajoute d’éléments dans la chaine de fonctionnement, plus on fragilise le système complet en cas de faille dans l’un des éléments. Sans compter les multiples éléments extérieurs inconnus sur lesquels on ne peut avoir de contrôle (stabilité électrique, parasites électro ou magnétiques, chocs d’un balai, utilisateur lui même, …) qui conduisent parfois à des pannes non franches qu’il est quasiment impossible de reproduire, comprendre et éviter. Les systèmes fermés (logiciels ou matériels) induisent eux aussi une part d’inconnu qui ne nous laisse que la possibilité de constater: c’est en panne, ou ça a été en panne, mais on ne sait pas pourquoi.

Or, lorsqu’un client fait appel à un professionnel, il veut une réponse. Et si le professionnel avoue son ignorance, c’est qu’il est nul et qu’il faut s’adresser à quelqu’un d’autre. La tentation est alors forte d’inventer une cause ou une explication qui satisfera le client, bien qu’on ne sache pas réellement si elle est juste. Déjà que le métier d’informaticien paraît obscur aux non initiés ((ouvrez une ligne de commande chez un client, il vous prend déjà pour un hacker)), que les termes techniques et les explications sont incompris ((ce qui permet à certains de raconter n’importe quoi)), que les médias ne parlent de l’informatique que pour ses effets négatifs (pirates, virus, pédophilie), on arrive très vite à une réputation de menteurs et de voleurs, pas loin derrière les garagistes. C’est parfois difficile à rattraper, surtout quand on passe derrière certains concurrents ((quand il ne s’agit pas du petit fils de la soeur du cousin du beau frère du collègue de travail du voisin qui « s’y connait » et à qui on fait plus confiance)).

Si en plus on apporte des mauvaises nouvelles au client, je vous laisse imaginer ses impressions. Heureusement qu’on ne tue plus les porteurs de mauvaises nouvelles!

Intervenant souvent sur des pannes ((souvent sur des systèmes que je découvre)), le client veut que ça refonctionne au plus tôt ((c’est à dire juste après son appel)) et que ça ne se reproduise plus ((il paye, donc il veut une garantie)). Or, pour étudier une panne, il faut laisser le système dans l’état où il se trouve, c’est à dire en panne. Comme bien souvent un simple redémarrage suffit à résoudre le problème ((en particulier chez qui vous savez)), difficile de savoir le pourquoi et d’être certain que ça ne se reproduira plus. Ce n’est pas le plus difficile à faire comprendre à un client, quand on emploie les mots justes. Il peut comprendre qu’un redémarrage est nécessaire et que c’est un moindre mal mais il est tiraillé entre ce que vous lui dites et le discours appuyé des commerciaux ne disant que ce que les gens ont envie d’entendre. J’appelle ça le chant des sirènes.

En tant que particulier, professionnel ou simple être humain, j’y suis aussi sensible. Entre les publicités et les envies d’être rassuré, difficile de faire la part des choses ((assurances, mutuelles, retraite, services bancaires, alarmes, … On a tous cédé une fois parce qu’on avait envie d’y croire)).

Alors, quand un commercial me jure ses grands dieux que tout est parfait, je lui fait voir la galerie ci dessous ((Y’a bien que des informaticiens pour prendre ces trucs en photo. Et en plus à aimer ça…!)). Ce sont des photos provenant d’Internet pour la majorité, plus quelques unes de mon crû.

Quand un client veut que ça ne se reproduise plus, sans mettre les moyens, je lui fais aussi voir cette galerie. Il comprend alors que si des banques ou des aéroports restent confrontés à des pannes pouvant compromettre la sécurité de leur système alors qu’ils y ont mis des moyens importants ((Et souvent beaucoup plus que le budget disponible chez mon client)), l’objectif de zéro panne n’est pas accessible immédiatement et qu’il va falloir étudier une tolérance de panne acceptable.

Au final, quand on a compris qu’il y aura une panne, qu’on ne saura pas pourquoi ni comment, la seule question importante qu’il reste c’est: comment repartir rapidement après sinistre? Seul un système de sauvegarde efficace ((testé et vérifié régulièrement, ce qui n’est pas le cas dans beaucoup d’endroits)) et une méthodologie de travail adaptée ((Ne pas multiplier les emplacement des données, classer les informations, …)) permettent de relancer, plus ou moins rapidement ((selon les moyens mis en oeuvre et l’acceptation d’un délai de coupure de service)), le système d’information nécessaire au fonctionnement.

Vous qui me lisez, à quand remonte votre dernière sauvegarde vérifiée?

Aucun risque!

Des fois, on voit des petits détails qui nous font faire des bonds, qu’on soit informaticien ou pas.

Vous ne voyez pas? Cliquez sur l’image pour la voir en grand.

Toujours pas? Bon, je vous aide

Oui, un objet métallique à moins d’un demi centimètre de fiches alimentées en 220V. Aucun risque d’arc électrique. Aucun risque qu’un client ne s’amuse à le tripoter pendant que la vendeuse est occupée. Aucun risque, je vous dis.

Sauf celui de passer pour un con lorsqu’on le signale, parce qu’il faut bien que l’ordinateur fonctionne pour pouvoir vous commander vos lunettes, Monsieur! ((Je schématise fortement, bien sûr, mais le message est là))

Claques perdues: +1

Réparer le MBR de Vista ou Seven sans le DVD d’installation

Ayant eu à réparer l’ordinateur d’un client avec Vista ne voulant plus démarrer, et ne possédant pas le DVD d’installation, puisque seul un disque de restauration était disponible, il a fallu que je trouve une solution pour ne pas perdre tous les documents et les logiciels installés.

Heureusement, cet article m’a beaucoup aidé. En fait, j’ai pu réparer le MBR, réparer les secteurs défectueux et relancer Vista en un peu plus d’une heure.

En le plaçant ici, je suis sûr de retrouver la méthode si j’en ai un jour besoin de nouveau (ce dont je ne suis pas certain).

Quand je pense que certains trouvent qu’il est plus facile d’installer windows que linux…

Superviser vos serveurs avec FTPupinfo

Il est toujours pratique d’avoir un oeuil sur les ordinateurs dont on a la charge. Ne serait-ce que pour prévenir avant de guérir. Quand je dis serveurs, c’est tout type de machine linux.

Or, s’il faut se connecter à chacun pour avoir des infos, cela devient vite pénible.

Il existe une pléthore de logiciels dédiés à cet usage. Des simples, comme phpsysinfo, et des poids lourds comme Nagios, zabbix, …

Les logiciels simples peuvent correspondre à un besoin ponctuel, mais manquent souvent des éléments dont on aurait besoin spécifiquement. Les poids lourds du genre sont cauchemardesques à configurer, et c’est souvent sortir le bazooka pour tuer une mouche… Sans compter les failles de sécurités régulières.

J’ai développé un logiciel nommé FTPupinfo destiné, à la base, à mon usage personnel, pour superviser mes serveurs. Puis il a évolué avec le temps pour devenir une application à part entière, située entre les deux catégories dont on a parlé.

Voici un rapide aperçu:

Capture 1

Avantages:

  • Facile à installer (paquet dans les dépôts absolacom)
  • C’est le client qui uploade vers le serveur, pas le serveur qui interroge le client (pas d’ouverture de ports, pas de faille). Pas besoin de se connecter à la machine à surveiller (pas d’ouverture de ports, pas de faille).
  • Paramétrable avec un simple fichier de configuration texte
  • Upload sur le serveur en mode FTP ou rsync (si upload activé, non obligatoire)
  • Copie en local possible des rapports générés
  • Rapide et léger
  • Possibilité d’activer/désactiver chacune des fonctions
  • Personnalisable par skins (que vous pouvez créer/ajouter)
  • Ajout de modules possibles (par exemple pour prendre en charge SNMP)
  • Pensé pour être sécuritaire
  • Possibilité d’exécuter des programmes avant, pendant, après le fonctionnement du logiciel (alertes par mail, nettoyages, …)
  • Possibilité de garder le dernier rapport, un par jour, tous…
  • Le dernier rapport est accessible même si le serveur ne l’est pas
  • Fonctionne sur Debian (et dérivées), Mandriva, Suse (depuis les sources)

Inconvénients:

  • Ne fonctionne pas encore pour Windows (et ce n’est pas une priorité). Fonctionne au strict minimum avec Cygwin avec une version modifiée du programme (contactez moi si vous êtes intéressé).
  • Visualisation en mode décalé. Pas de consultation en direct (le programme est lancé avec une granularité d’une minute).
  • Sans doute Certainement améliorable au niveau du code
  • Disponible uniquement en deb ou en source (si vous voulez packager pour votre distrib, soit vous vous en chargez, soit vous me dites comment faire)
  • Les skins sont moches (si,si. Je sais. Je ne suis pas graphiste, je le reconnais), mais c’est du full CSS (sauf scories) facilement modifiable.¹
  • En anglais pour l’instant (même si c’est peu gênant, le vocabulaire informatique utilisé étant souvent anglais). L’adaptation pour permettre la localisation est en projet.
  • …heu…
Page de statistiques

Page de statistiques

Toutes les infos se trouvent sur le site du projet et vous pouvez voir des exemples sur le site de démo.

Dernière précision, c’est entièrement du GPL gratuit pour la partie cliente (le programme qui tourne sur les ordinateurs). Seule la partie serveur de supervision (optionnelle) est payante.

Il est actuellement utilisé professionnellement par ma société pour superviser les clients, quelques sociétés partenaires et les écoles du département des Pyrénées Orientales équipées de serveurs Eclair (dont j’ai été le développeur initial pour le pôle de compétences de Perpignan) ou Zeli.

Les suggestions, remarques, rapports de bugs sont les bienvenus.

1. message subliminal très subtil 😉 : si vous savez fairedes skins potables, envoyez les moi et je les intègrerais au programme avec vos crédits.

Flasher le bios des DELL Optiplex GX1

Les DELL Optiplex GX1 sont des ordinateurs increvables. Il en existe encore des centaines en circulation, même s’il est difficile aujourd’hui de trouver de la mémoire adaptée (PC100) et qu’ils ne supportent pas plus de 512Mo de RAM.
Cependant, cela fait de magnifiques clients légers peu chers, à condition qu’on n’en exige pas trop d’eux. Or, dans une école primaire, les besoins sont aussi faibles que les moyens…
Il faut , comme pour les COMPAQ EN SFF, flasher le bios pour avoir une version de PXE supérieure à 1 et permettre de booter sur un serveur de clients légers.

Je vous fournis l’image de la disquette (à créer avec dd if=flash_bios_OPTIPLEX_GX1.img of=/dev/fd0) et l’image du CD équivalent qu’il ne vous reste qu’à graver pour l’utiliser.

Flasher le BIOS des « COMPAQ EN SFF »

Les COMPAQ EN SFF (Small Form Factor) sont très pratiques (compacts) et on en trouve facilement, souvent pour rien.

Ils sont parfait pour être utilisés en clients légers (par exemple avec Zeli) mais ont souvent un BIOS trop ancien pour booter sur le PXE intégré, puisqu’il faut au moins la version 2 de PXE, et que ces ordinateurs sont équipés de la version 1.

Il existe 2 façons de s’en sortir:

  1. Créer une disquette de démarrage PXE sur rom-o-matic en choisissant la carte réseau eepro100:82559er — [0x8086,0x1209], télécharger l’image et la passer sur une disquette par cat eb-git-yournic.zdsk > /dev/fd0 pour enfin démarrer sur la disquette à chaque fois.
  2. Mettre à jour le BIOS

Bien sûr, vu la fiabilité des disquettes qui s’avèrent être toutes illisibles au moment où on en a besoin, il vaut mieux flasher le BIOS une bonne fois pour toutes.

Or, les utilitaires qui permettent de créer la disquette de flashage ne fonctionnent que sur Windows. Quand on n’a plus Windows sur ses machines depuis longtemps… POWNED!

Si on peut s’en sortir avec virtualbox, je vous fournis directement l’image de la disquette (flash_bios_COMPAQ_686T5ROM.img) qu’il ne vous restera plus qu’à utiliser en la créant avec dd if=flash_bios_COMPAQ_686T5ROM.img of=/dev/fd0, de démarrer le COMPAQ sur la disquette et de suivre les instructions. Bonus, vous pourrez même passer le BIOS en français en flashant la langue (en une deuxième étape).

Je vous fournis aussi une image de CD à graver que vous pourrez utiliser comme une disquette, car il est plus simple désormais de trouver un CD vierge qu’une disquette fonctionnelle: cd_flash_bios_COMPAQ_686T5ROM.iso

Assurez vous quand même avant que votre rom est bien une 686T5 en allant dans le bios (F10) au démarrage avant de tout casser.

Si ce n’est pas le cas, il ne vous reste plus qu’à trouver le bon BIOS sur le site de COMPAQ HP et d’installer un Windows.

Ajout du 15/10/2009: Voici pour les ROM 686J1 des SFF: l’image de la disquette de flashage et l’image du CD de flashage

Supprimer Bluebirds.exe des lecteurs LG

Les Oiseaux bleus attaquent!

Merci LG!

Pour un coup d’essai, c’est raté. Vouloir se lancer dans le logiciel quand on n’a pas l’expérience et  imposer SON logiciel de gravure à ses utilisateurs, pour une bourde, je considère que c’en est une.bluebirds

Quand vous achetez un lecteur/graveur LG Super Multi DVD rewriter modèle GH22NS50 ou GH22LS50, vous avez la surprise de voir votre système d’exploitation vous indiquer que vous avez un disque nommé Bluebirds dans le lecteur.

Et quand vous ouvrez le lecteur…Pas de disque! Rien! Et Bluebirds disparait bien du bureau.

Si vous introduisez un disque, il affiche bien le disque correct, mais sans disque…Bluebirds!

En fait, la ROM du lecteur se fait passer pour un disque. Vous pouvez l’explorer et vous y trouverez autorun.inf, BlueBirds.exe, Drag&Burn.exe et Setup.exe

Ces exécutables sont la « added feature »¹ fournie par LG pour vous « offrir » leur logiciel de gravure. Alors que le graveur est fourni avec un CD comprenant Nero ou les LG burning tools et les LG power tools…

Alors, ce qui est intelligemment réfléchi, c’est qu’avec Windows ou Linux, et j’imagine que c’est pareil avec Mac, vous avez en permanence un volume monté sur le bureau. Ou vous avez en permanence le lecteur ouvert…

Heureusement, Grâce soit rendue à LG, ils nous ont fourni un utilitaire pour flasher la ROM et supprimer cet oiseau bleu. Et vous pourrez le trouver ici (Onglet « Drivers and Softwares »). Et, bien sûr, l’utilitaire fourni ne fonctionne que sous Windows.

Ycompris avec windows

Ycompris avec windows

Encore une fois, merci LG!

Bon, comment faire pour s’en débarasser ? 3 Solutions:

  1. – Installer le lecteur sur une machine avec Windows (32 bit seulement, en 64 ça ne fonctionnera pas) et utiliser leur outil de désinstallation ²
  2. – Essayer avec VirtualBox pour tenter le flashage
  3. – Modifier le fonctionnement de HAL pour faire disparaitre ce satané Bluebird

Bien sûr, ne possédant plus de Windows depuis plusieurs années, c’est la dernière méthode que je vous livre ici.

Supprimer Bluebirds.exe

Créez un nouveau fichier texte sur le bureau que vous nommerez eradicate_bluebirds.fdi et copiez y ceci:

<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?> <!-- -*- SGML -*- -->

<deviceinfo version="0.2">

<device>
<match key="volume.label" string="Bluebirds">
<merge key="volume.ignore" type="bool">true</merge>
</match>
</device>

</deviceinfo>

Faites attention à la casse du nom. En effet, cela ne fonctionnera pas si vous ne mettez pas la majuscule puisque le disque ne sera pas identifié de la même façon que vous le signalez dans le fichier.

Ensuite, en console, tapez les lignes suivantes:

sudo mv ~/Desktop/eradicate_bluebirds.fdi /etc/hal/fdi/policy
sudo /etc/init.d/hal restart

Vous n’êtes même pas obligé de redémarrer votre ordinateur (mais vous pouvez le faire si vous le désirez). Si l’icone est encore visible sur votre bureau, il vous suffit de faire un clic droit dessus et de démonter le volume. Ce sera suffisant.

Ceci ne supprime pas le problème du lecteur qui s’identifie comme le disque Bluebirds. Cela va simplement faire en sorte que le système ignore tout disque qui se nommerait Bluebirds. Vous n’aurez ainsi plus le disque en permanence monté et visible sur le bureau.

Attention, en cas de réinstallation, il faudra recommencer…

Mise à jour du 22 Aout:

Il semblerait que l’outil fourni ne fonctionne pas avec les lecteurs OEM. Merci LG!
Du coup, il est possible de faire disparaitre Bluebirds quand on est sous linux, mais pas sous Windows.


1 - Fonction apportant un plus. Ce qui justifierait l'achat de CE lecteur plutôt qu'un autre. Quand je disais que c'était raté.
2 - Si vous arrivez à le télécharger, le site de LG étant très anti-ergonomique et utilise des ActiveX, donc, accessible seulement avec IE...

Identifier son système sous linux

Lorsque l’on doit faire une mise à jour du bios de son ordinateur, il est plus rassurant (et plus fiable) d’avoir le maximum d’informations sur son matériel.

Avec Debian/Ubuntu, vous pouvez obtenir ces informations facilement en installant le paquet libsmbios-bin et en utilisant la commande getSystemId (via sudo!)

exemples:

pour mon Aspire One (jaunty)

Libsmbios version:      2.2.13
Product Name:           AOA150
Vendor:                 Acer
Version du BIOS:        v0.3114
System ID:              0x0000
Service Tag:            xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Express Service Code:   xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Asset Tag:
Property Ownership Tag:

Pour mon Fujitsu Amilo (hardy):

Libsmbios:    0.13.10
Error getting the System ID   :
Error getting the Service Tag : std::exception
Product Name: AMILO Xa 2528
BIOS Version: 1.0L-4C15-000F
Vendor:       FUJITSU SIEMENS
Is Dell:      0

Un serveur Web (hardy):

Libsmbios:    0.13.10
Error getting the System ID   :
Error getting the Service Tag : std::exception
Product Name: EPIA
BIOS Version: 6.00 PG
Vendor:       VIA TECHNOLOGIES, INC.
Is Dell:      0

Une VirtualBox (jaunty):

Libsmbios version:      2.2.13
Product Name:           VirtualBox
Vendor:                 innotek GmbH
Version du BIOS:        VirtualBox
System ID:              0x0000
Service Tag:            0
Express Service Code:   0
Asset Tag:
Property Ownership Tag:

Pour les développeurs python, vous noterez que ça vous installe d’office python-libsmbios. Je vous laisse imaginer tous les usages possibles pour vos applications.

Ecran noir sur Acer Aspire One

J’ai un aspire one D150 dont je suis très satisfait. En fait, c’est le côté mobilité qui me convient, un autre netbook me conviendrait aussi certainement.

Aujourd’hui , après des redémarrages successifs (test de distributions Linux Live), et bien que je ne pense pas qu’il y ait de rapport, l’ordinateur ne démarrait plus…

Symptomes:

  • Bouton Power allumé en vert (normal)
  • Ventilateur audible (comme d’habitude)
  • Écran noir (même pas de rétro éclairage) sans même arriver à l’écran de sélection du bios.
  • Avec ou sans batterie, repos de quelques heures avant de réessayer, tentative de démarrage sur un disque externe, laissé allumé plus d’une heure… Rien n’y a fait.

Après recherches sur le net, voici les conclusions:

  • Le BIOS de l’aspire one s’est mis « en vrac ». Il semblerait que ce soit assez courant, quelle que soit la distribution installée.
  • Le BIOS le plus récent n’est pas forcément le meilleur. Mon aspire One possédait d’origine un des BIOS récents proposés par Acer.
  • Il n’est pas obligatoire d’envoyer le netbook au SAV d’Acer (1 mois d’attente généralement constaté)

Si cela vous arrive, voici la méthode pour réinstaller un BIOS fonctionnel (testée et validée par mes soins):

ATTENTION: cette méthode ne garantit pas la réussite de l’opération. Elle a fonctionné pour moi, mais en cas de soucis, adressez vous à Acer.  Vous êtes seul à prendre la responsabilité de la suivre. Lisez en totalité (y compris les liens donnés) avant de vous lancer dans l’opération. N’interrompez jamais un flashage de BIOS. N’hésitez pas à réciter des incantations en dansant autour de votre ordinateur (facultatif)

  1. Il vous faut une clef USB vierge, donc si vous avez des documents dessus, sauvegardez les ailleurs. Ça ne fonctionne pas si la clef ne contient pas seulement les fichiers nécessaires (1). Évitez les clefs de plus de 2Go.
  2. Formatez la en FAT32, soit en passant par Système/Administration/Éditeur de partition (assurez vous de sélectionner le bon disque! (2) ) en faisant un clic droit sur la partition pour la démonter et la formater, soit en ligne de commande avec mkfs -t vfat /dev/sdx, où sdx représente la partition de votre clef (3)
  3. Téléchargez le BIOS 3114 depuis le site d’acer. Ne prenez QUE le 3114, les autres n’ayant pas fonctionné dans mon cas (Bien que j’ai vraiment cherché à les utiliser)
  4. Décompressez l’archive, et copiez tous les fichiers sur votre clef.
  5. Renommez le fichier ZG5_3114.fd en ZG5IA32.FD (Respectez la casse, c’est important)
  6. Démontez proprement votre clef.
  7. Branchez votre AAO sur l’alimentation secteur. Laissez la batterie ou non, mais soyez branché au secteur (une coupure d’alimentation au moment du flash du BIOS peut complètement rendre votre netbook inutilisable…).
  8. Branchez votre clef sur le AAO.
  9. Appuyez, et maintenez appuyées, les touches Fn et Echap. Appuyez sur le bouton d’alimentation. Il devrait clignoter en vert. Relâchez alors les touches Fn et Echap et re-appuyez une fois sur le bouton power pour lancer la mise à jour du BIOS.
  10. Votre clef devrait clignoter ou s’allumer à deux reprises. Laissez faire en croisant les doigts (4). Rien ne s’affiche à l’écran pendant le flashage, donc, continuez à croiser les doigts.
  11. Votre AAO devrait redémarrer tout seul au bout de quelques minutes (moins de 5) et tout devrait rentrer dans l’ordre.

Espérant que cette méthode vous aura aidé autant que moi, je vous incite à lire les liens parlant du problème.

http://www.aspire-one.fr/forum/showthread.php?tid=171&page=1

http://www.commentcamarche.net/forum/affich-10201393-probleme-ecran-noir-acer-aspire-one

Site d’Acer pour l’Aspire one D150

Bien sûr, en cas d’échec, le département d’état nierait avoir eu connaissance de vos agissements…

(1) La question du pourquoi est toujours en suspend. J’ai fais plusieurs fois les tests et je suis certain de ce fait.

(2) Si vous vous trompez, vous perdrez tous les documents de votre disque.

(3) En cas de doute, mieux vaut aller demander sur un forum AVANT de faire une bêtise.

(4) Peu rationnel, mais efficace!

Note du 27/03/2010: Aujourd’hui, alors que je testais encore des boot sur clefs usb, le problème est réapparu. J’ai réeffectué les opérations ci dessus, et j’ai récupéré un AAO fonctionnel. Donc, je vous confirme que cet article est toujours d’actualité (et efficace).

Augmenter les résolutions disponibles

pour m’éviter de chercher et l’avoir une fois pour toutes noté quelque part:

Section "Monitor"
Identifier      "Configured Monitor"
HorizSync       30.0 - 83.0
VertRefresh     55.0 - 75.0

EndSection

et

Section "Screen"
Identifier      "Default Screen"
Monitor         "Configured Monitor"
Device          "Configured Video Device"
DefaultDepth    24
SubSection "Display"
Depth        24
Modes        "1024x768" "960x600" "800x600"
EndSubSection

Ceci permet d’indiquer au serveur X qu’il peut sortir du mode sécurisé des dimensions 640×480 et 800×600 pour monter en fréquence vers des dimensions supérieures.

Installation d’Ubuntu sur Amilo Xa2528

L’installation d’Ubuntu 8.04 sur ce Fujitsu-Siemens ne se fait pas sans mal. Ni sans casser d’oeufs !

  • L’utilisation de live CD est exclue, aucune distribution ne peut démarrer.
  • L’utilisation de boot sur usb ne permet pas de démarrer l’ordinateur (en tout cas, echec de ma part, mais d’autres ont réussi)
  • L’installation de la netinstall permet d’aller jusqu’à la fin de l’installation mais le démarrage se bloque avec un message d’erreur (en fait, le message d’erreur concerne ata1 ou ata3 et tourne en boucle sur celle ci après des retry de 5 secondes). Pour que l’install se fasse, activer la console N°2 et lancer des modprobe sur ata_piix et  sd_mod.

Ma méthode d’installation a été la suivante:

  • Démontage du disque sata et montage sur un ordinateur opérationnel.
  • Mise à jour de l’installation
  • Mise à jour du noyau pour prendre le plus récent
  • update-pciids et update-usbids
  • Modification du fichier /etc/modules pour ajouter les modules ata_piix, pata_amd, fujitsu-laptop, fujitsu-ts
  • Modification du fichier /etc/initramfs-tools/modules pour ajouter les modules sd_mod, ide-generic, ata_piix, pata_amd,  fujitsu-laptop, fujitsu-ts
  • Reconstruction de l’initram avec la commande « update-initramfs -u »
  • Modification de /boot/grub/menu.lst pour ajouter l’option noapic au kernel de démarrage
  • arrêt de l’ordinateur puis remise en place sur le portable du disque d’origine

Résultat: Ubuntu démarre !

Un lspci:

00:00.0 RAM memory: nVidia Corporation C51 Host Bridge (rev a2)
00:00.1 RAM memory: nVidia Corporation C51 Memory Controller 0 (rev a2)
00:00.2 RAM memory: nVidia Corporation C51 Memory Controller 1 (rev a2)
00:00.3 RAM memory: nVidia Corporation C51 Memory Controller 5 (rev a2)
00:00.4 RAM memory: nVidia Corporation C51 Memory Controller 4 (rev a2)
00:00.5 RAM memory: nVidia Corporation C51 Host Bridge (rev a2)
00:00.6 RAM memory: nVidia Corporation C51 Memory Controller 3 (rev a2)
00:00.7 RAM memory: nVidia Corporation C51 Memory Controller 2 (rev a2)
00:02.0 PCI bridge: nVidia Corporation C51 PCI Express Bridge (rev a1)
00:03.0 PCI bridge: nVidia Corporation C51 PCI Express Bridge (rev a1)
00:04.0 PCI bridge: nVidia Corporation C51 PCI Express Bridge (rev a1)
00:09.0 RAM memory: nVidia Corporation MCP51 Host Bridge (rev a2)
00:0a.0 ISA bridge: nVidia Corporation MCP51 LPC Bridge (rev a3)
00:0a.1 SMBus: nVidia Corporation MCP51 SMBus (rev a3)
00:0a.3 Co-processor: nVidia Corporation MCP51 PMU (rev a3)
00:0b.0 USB Controller: nVidia Corporation MCP51 USB Controller (rev a3)
00:0b.1 USB Controller: nVidia Corporation MCP51 USB Controller (rev a3)
00:0d.0 IDE interface: nVidia Corporation MCP51 IDE (rev f1)
00:0e.0 IDE interface: nVidia Corporation MCP51 Serial ATA Controller (rev f1)
00:10.0 PCI bridge: nVidia Corporation MCP51 PCI Bridge (rev a2)
00:10.1 Audio device: nVidia Corporation MCP51 High Definition Audio (rev a2)
00:14.0 Bridge: nVidia Corporation MCP51 Ethernet Controller (rev a3)
00:18.0 Host bridge: Advanced Micro Devices [AMD] K8 [Athlon64/Opteron] HyperTransport Technology Configuration
00:18.1 Host bridge: Advanced Micro Devices [AMD] K8 [Athlon64/Opteron] Address Map
00:18.2 Host bridge: Advanced Micro Devices [AMD] K8 [Athlon64/Opteron] DRAM Controller
00:18.3 Host bridge: Advanced Micro Devices [AMD] K8 [Athlon64/Opteron] Miscellaneous Control
05:00.0 VGA compatible controller: nVidia Corporation GeForce 8600M GS (rev a1)
07:06.0 FireWire (IEEE 1394): VIA Technologies, Inc. IEEE 1394 Host Controller (rev c0)

Un lsusb:

Bus 002 Device 006: ID 058f:6366 Alcor Micro Corp.Bus 002 Device 005: ID 0402:5602 ALi Corp. Video Camera ControllerBus 002 Device 003: ID 0bf8:100f Fujitsu Siemens Computers

Bus 002 Device 001: ID 0000:0000

Bus 001 Device 007: ID 0a12:0001 Cambridge Silicon Radio, Ltd Bluetooth Dongle (HCI mode)

Bus 001 Device 006: ID 0461:4d05 Primax Electronics, Ltd

Bus 001 Device 001: ID 0000:0000

 Corrections apportées à l’installation:

  • Audio sur les haut parleurs: créer un fichier /etc/modprobe.d/sound contenant:

alias snd-card-0 snd-hda-intel

options snd-hda-intel index=0 model=3stack-dig

Par contre, après, plus de son au casque… (?)

Reste à voir:

  1. Un message d’erreur concernant un élément IDE lors du boot. Provient du lecteur DVD (problème connu). La recompilation du noyau est nécessaire pour le faire fonctionner (A faire dès que j’aurais du temps)Corrigé et fonctionnel avec le noyau recompilé (voir plus bas)
  2. Les périphériques de l’ordinateur, si tout est fonctionnel (je ne pense pas)
  3. Remettre le disque sur l’autre ordinateur pour retailler la partition Vista qui prend beaucoup trop de place (d’autant que 12 Go sont réservés pour la restauration…)
  4. La molette analogique de réglage de volume est inefficace. Ceci dit, sous Vista livré avec le PC, elle ne fonctionne pas non plus.
  5. La webcam est reconnue mais il n’existe pas de driver linux fonctionnel. Un projet existe ( voir ici: http://forum.ubuntu-fr.org/viewtopic.php?pid=1536180#p1536180)
  6. Le wifi nécessite de passer par ndiswrapper et les drivers XP. Pas de besoin en wifi pour l’instant, mais penser à trouver les drivers XP au cas où. Les drivers que j’ai utilisé, trouvé chez les autres utilisateurs, ne fonctionnent pas pour moi. Ais je un matériel différent ou un problème d’installation ???
  7. Les touches de réglage (Fn+Fx) sont inefficaces. Si celles concernant le son affichent l’incrustation à l’écran, cela ne change en rien les réglages réels.
  8. Les touches d’accès rapide, au bas de l’écran, ne fonctionnent pas toutes. Celle de la webcam l’active/désactive et celle du navigateur fonctionne. Les autres semblent inactives. Du bricolage à faire avec des affectations, mais vu que je ne m’en sers pas…
  9. L’infra rouge ne fonctionne pas, et la télécommande non plus. Comme c’est un gadget (pour moi), pas de temps à y consacrer.
  10. Après divers essais, les modules fujitsu-laptop et fujitsu-ts ne semblent pas faire grand chose, que ce soit avec ou sans.

Ce qui fonctionne:

  • Le lecteur de carte SD. Bonne surprise, c’est un lecteur SD HC.
  • Le son au casque. Pas dans les HP, mais je m’y attendais. Résolu au dessus Le son dans les HP est OK, mais plus de son au casque ??? En plus, je trouve que la puissance sonore est assez légère, même avec tous les réglages à fond.
  • Le micro et skype fonctionne bien (utilisation quotidienne)
  • Le touchpad fonctionne correctement (mieux que sous vista: en glissant le doigt sur le bord droit du touchpad, on fait défiler la page, ce qui ne fonctionne pas avec vista!). Par contre, les boutons sont capricieux et il faut bien appuyer pour cliquer, autrement le bouton fait bien le clic, mais l’action n’est pas prise en compte (le clic senti est mécanique et sans rapport avec le clic du contacteur).
  • Bluetooth fonctionnel « out of box ».
  • L’installation des drivers Nvidia est bien gérée et l’accélération 3D est active sans problème. L’installation de compiz permet d’accéder aux effets. L’utilisation d’envy permet de mettre le driver nvidia « qui va bien » et de paramétrer le dual screen avec la sortie DVI (en plus, avec le driver nvidia, la définition et la luminosité de l’affichage me semblent bien meilleurs. Impression ou réalité?)

Remarques:

  • Rien à voir avec l’installation, mais à l’usage, l’emplacement des leds d’indications me semble très mal choisi. Le pc en usage, les leds sont sous le poignet droit: non visibles. Le pc fermé, les leds sont complètement masquées, impossible de savoir si le pc est en veille ou arrêté…
  • Le clavier est agréable à utiliser. Sauf cette *%ù$ de touche majuscule droite trop petite qui rend galère l’utilisation des slash dont la touche est elle aussi réduite.
  • Pourquoi avoir mis une secondes touche avec les caractères « > » et »< » à un emplacement inhabituel ? (à droite de la touche majuscule droite)
  • C’est quoi cette autonomie de batterie ?! Mon ancien PC portable tenait 4 heures facilement, celui ci à peine 2h30 en limitant les services lancés. Il faut toujours courir après une prise électrique (heureusement que je tombe sur des caffetiers sympas qui permettent la recharge du PC dans mes attentes en gare)(j’ai acheté un chargeur solaire, encombrant mais efficace, qui me permet de presque doubler l’autonomie, et que je n’hésite pas à scotcher sur les lumières des sièges TGV (eh non, je ne voyage pas en première…). En plein été, c’est très efficace)

Mise à jour du 12/06/2008:

(source:  http://forum.ubuntu-fr.org/viewtopic.php?id=180604&p=3)

Voici les fichier fichier config  et fichier de configuration du noyau config.generic pour le recompilation du noyau.

Un script pour automatiser tout ça: Script de recompilation du noyau pour amilo xa2528

 Le WIFI (maj: 22/08/08)

– Installer ndiswrapper
– Installer le driver (=>google)
– Modifier /etc/modules pour ajouter ndiswrapper
– Redémarrer ou sudo modprobe ndiswrapper
ndiswrapper -l doit retourner

Code:

sis163u : driver installed
    device (0BF8:100F) present

– Si ça ne retourne pas la ligne device present (ce qui était mon cas), utiliser ceci:
Code:

sudo ndiswrapper -d 0bf8:100f sis163u

– Retenter un ndiswrapper -l
– Ca devrait fonctionner. Le périphérique est vu (iwconfig) et je vois les réseaux présents.
Ne reste plus que le WPA à voir.