Après avoir en main le raspberry, je me suis empressé de l’installer et cet article me servira de notes centralisées.
1- Support Quick and Dirty pour la carte
La carte livrée sans boîtier ne pourrait pas résister longtemps à mon environnement de travail extrèmement bien organisé sur mon bureau : vis qui trainent, tournevis posés n’importe où, caches métalliques des boitiers pour les cartes filles, fils qui sont reliés à des choses inconnues jusqu’à ce que ce produisent de magnifiques petits arcs électriques fort agréables en cette période de fêtes, … Bref un bureau de travail, même si j’exagère un peu.
Bon, c’est une carte de test, donc un vrai boîtier n’est pas nécessaire pour l’instant, mais la carte doit être protégée un minimum.
Voyant les deux trous, j’ai pensé à utiliser les entretoises de carte mère en plastique, celles dont on ne sert plus depuis longtemps. Sauf que les miennes ne sont pas autocollantes.
Bien sûr, comme les trous du Raspberry ne sont pas assez gros, un petit coup de foret de 3,5 plus tard, ça fonctionne. Et pour de la stabilité, parce que deux pieds ne sont pas suffisant pour assurer la stabilité de la bête, une carte de crédit (périmée) quelconque et un peut de colle, et le tour est joué!
Ne reste plus maintenant qu’à brancher.
2- Installation du système
J’ai suivi les indications de cette page: http://route63.free.fr/blog/?p=1873
3- A suivre…
Note: je m’intéresse aussi fortement à ceci et cela
salut,
très sympa ton blog. je repasserai 🙂 comme tout geek. Sinon je vais me procurer le rasp, depuis le temps que je le dis.
@+